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Dans notre émission tour du monde d’aujourd’hui, on va rencontrer tout d’abord, Fraser Sampson, blogueur anglais: transmettre la véritable image la Chine au monde.   

Ensuite, on va faire un tour dans le monde entier pour découvrir ce qui s’est passé récemment. Dans la 3ème et dernière partie de cette émission, je vous propose d’apprendre le Chinois avec nous.

Fraser Sampson, blogueur anglais: transmettre la véritable image la Chine au monde   

Ils sont venus en Chine parce qu'ils le voulaient, ils ont choisi d'y rester en raison de leurs rêves. Quand des étrangers « rencontrent la Chine », quels en sont les effets ?

En 2022, China Media Group News Radio a lancé une série d’émissions spéciales intitulée « Rencontrer la Chine » consistant à recueillir les récits d’amis étrangers de la Chine.

Fraser Sampson est un jeune Anglais, il est venu en Chine à l’âge de trois ans et a grandi en Chine. Maîtrisant le chinois comme sa langue maternelle et ayant vécu dans les Hutongs de Beijing dès son enfance, il a trouvé dans cette terre chinoise sa propre identité.

Aujourd'hui, suivons l'histoire de la "rencontre avec la Chine" de ce jeune Anglais avec notre journaliste Wang Yiming de China Media Group New Radio.

En entrant dans un hutong de Beijing, il nous semble que nous entrons dans un lieu calme au milieu d’une ville bruyante, le jeune anglais Fraser Sampson habite ici. L’architecture d’un style aussi ancien que charmant à la décoration moderne ; la beauté de l’Orient, ici, se confond avec la beauté de l’Occident.

“Je m’appelle Fraser en Anglais, je porte un nom chinois Ah Fu. J’ai 25 ans cette année et j’ai grandi à Beijing.”

Fraser se moque de lui-même en disant qu’il est un gentleman en costume résidant dans un hutong et qu’il mène une vie pékinoise combinant les styles chinois et occidental.

“En général, je me lève et prend le petit déjeuner avec le caillé de soja velouté, le beignet blanc et un café italien.

Après le petit déjeuner, je lis quelques livres, soit la littérature chinoise, soit des livres en anglais, ensuite, je fais du jogging à Houhai, bavarde avec des personnes âgées, enfin, je retourne à la maison et commence à travailler. ”

Né en 1997, Fraser réside en Chine depuis plus de vingt ans. Ses parents aiment les films de Zhang Yimou et s’intéressent beaucoup à la culture chinoise, du coup, quand l’opportunité professionnelle s'est présentée, toute la famille Fraser a déménagé à Beijing.

“ En 2001, à l’époque, ils ont prévu de venir travailler à Beijing durant trois ou quatre ans. Cependant, quatre ans se sont transformés en huit ans, dix ans, quinze ans, vingt ans. Au bout de vingt ans, ils ne sont toujours pas partis, on peut dire qu’il se sont installés en Chine et y sont habitués. ”

Pour ce jeune Anglais qui a grandi dans les hutongs, ce qui le rend très fier, c’est qu’il est capable de parler très couramment le chinois.

“ Maintenant, l’histoire se poursuit, Kong Ming a ordonné à Huang Zhong : ‘ Puisque tu pars, mes enseignements t’aident. Prévoyez tout...'”

Récemment, Fraser est en train de lire « L’histoire romancée des Trois Royaumes » et tombe sur le 71ème chapitre. Il s’est précipité de montrer au journaliste les textes qui l'ont le plus impressionné.

Mot à mot, il prononce chaque mot correctement et dans une voix douce. Selon lui, bien que le chinois soit difficile, mais, il se contente de ça.

“ Je préfère « L’histoire romancée des Trois Royaumes ». Parce que quand j’étais jeune, je suis allée avec mon copain d’enfance regarder le film « L’histoire romancée des Trois Royaumes ».

Après la séance, nous courions partout dans le quartier, il avait dit qu’‘aujourd’hui j’étais Lu Bu’, je lui ai répondu que ‘d’accord, aujourd’hui, j’étais Guan Yu, là-bas, il y avait des ennemis, à l’assaut… ’”

Arrivé à Beijing à l’âge de trois ans, il a fait ses études de l’école primaire et secondaire en Chine.

Ensuite, il est retourné en Grande-Bretagne pour terminer ses études universitaires, et après avoir travaillé un an, il a choisi de regagner la Chine pour s’épanouir.

Selon lui, même s'il est passionné par la culture chinoise, la vraie raison qui l’a retenu en Chine à long terme, c’est que la Chine peut lui conférer un sentiment de satisfaction qu’il n’arrive jamais à trouver.

“ J’ai l’impression que je n’arrive pas à bien m’adapter à la vie en Grande-Bretagne et que la Chine est bien meilleure. Qui suis-je ?

On veut toujours trouver la réponse à cette question quand on a une vingtaine d’années, je pense que je peux quand-même trouver ma supériorité en Chine et l’explorer, ça, c’est l’essentiel.”

Selon Fraser, chaque jour en Chine est merveilleux. Au mois de mai, il est allé au Mont Everest avec son père pour se balader à vélo ; ce mois-ci, il participera à une compétition de boxe.

De emps en temps, il invite ses amis anglais à voyager en Chine pour connaître de leurs propres yeux la véritable chine. Quand il a entendu ses amis faire l’éloge de la Chine comme étant “ au-delà de l’imagination ”, surgit tout d’un coup son sentiment de fierté.

“ Après son arrivée en Chine, mon ami anglais m’a confié qu’il n’avait jamais pensé que les Chinois étaient si gentils. Quand il veut faire des achats dans des supermarchés, il ne sait pas parler chinois, quelqu’un vient directement vers lui, l’aidant à trouver des articles.

Au métro, n’ayant pas rechargé son passe, il n’arrive pas à y entrer, une vieille dame a vu qu’il venait d’arriver en Chine, et lui a directement acheté un ticket. Il indique que les Chinois sont vraiment accueillants, tolérants, il faut vraiment venir en Chine se promener et voir. ”

Aujourd’hui, Fraser est engagé dans un travail relatif aux médias personnels. Il indique que les reportages de certains médias occidentaux sur la Chine ne sont ni vrais ni objectifs.

Il espère que sa propre voix peut être transmise par les médias pour que le monde connaisse la véritable Chine et voir les Chinois si amicaux.

“ Je veux montrer au monde la véritable Chine. Y compris la Chine, nous sommes tous pareils, nous voulons mener davantage de bonnes actions pour le monde.

Je vais montrer l’essentiel de la Chine, qu’il s’agit de Chinois amicaux.

Je suis convaincu que nous pouvons encourager de plus en plus de personnes à venir voir par elles-mêmes et ne pas être influencées par les médias imbus de préjugés. ”