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Dans notre émission tour du monde d’aujourd’hui, on va rencontrer tout d’abord Hubert, un jeune brésilien : la Chine est un pays qui aime la paix.       

Ensuite, on va faire un tour dans le monde entier pour découvrir ce qui s’est passé récemment. Dans la 3ème et dernière partie de cette émission, je vous propose d’apprendre le Chinois avec nous.

Hubert, un jeune brésilien : la Chine est un pays qui aime la paix          

Ils sont venus en Chine, parce qu’ils y aspirent. Du fait de leur rêve, ils choisissent d’y rester. Quand des étrangers « rencontrent la Chine », quels en sont les effets ?

China Media Group New Radio a lancé une série d’émissions spéciales intitulée « Rencontrer la Chine » qui consiste à écouter des dialogues d’amis étrangers avec la Chine.

En Chine, il y a beaucoup de Brésiliens qui étudient, travaillent et vivent. Le jeune Brésilien Hubert est l’un d’entre eux. Hubert indique qu’il aime profondément cette terre chaude, éprouve le changement et le développement prodigieux de la Chine.

Aujourd'hui, suivons l'histoire de la "rencontre avec la Chine" de ce jeune Brésilien Hubert avec notre journaliste Zhuang Yuanxin de China Media Group New Radio.

Hubert, un jeune homme originaire du Brésil, a grandi à Beijing et possède un fort "accent pékinois", tout à fait authentique. Il porte aussi le nom chinois Meng Tai Long. Ayant grandi avec des enfants pékinois, il se souvient que son enfance a été marquée par la forte empreinte du folklore pékinois.

''Quand j'étais enfant, Beijing avait davantage cette touche folklorique. J'avais l'habitude d'aller sur l'avenue Jingguan, à côté du Nid d'oiseau, où à l'époque les gens lançaient des libellules en bambou, faisaient voler des cerfs-volants et jouaient au volant."　

Hubert apprécie le mode de vie pékinois. Se promener dans les rues anciennes et les hutongs, boire un bol de jus de soja avec des galettes frites en cercle, lors du souper, se réchauffer l’estomac avec un bol d’intestins et de poumons du porc cuits dans la sauce de soja, sont autant de choses qui le rendent particulièrement heureux et satisfait.

“ J’aime surtout des traces historiques aux alentours de Gulou, j’adore son ambiance immersive et vintage. Chaque fois que j’y vais, je bois un bol de jus de soja, achète des snacks pékinois.

J’aime les intestins et les poumons de porc cuits dans la sauce de soja en ajoutant un peu de fleur de ciboulette chinoise et de tofu salé, j’aime également les rouleaux de choux chinois à la moutarde, les abats de porc fricassés à l'ail et à la fécule, la bouillie de farine de millet, puis je vais me promener dans les hutongs, c’est vraiment confortable.” 

Hubert indique que la ville de Beijing est riche en histoire et que les gens sont accueillants et gentils. Il amène souvent ses camarades de classe étrangers à faire un tour dans les anciennes rues et les hutongs, à éprouver la culture spécifique de la vieille ville de Beijing. Écoutons-le :

“Chaque fois que j’amène mes camarades de classe étrangers à se rendre dans ces endroits, ils auront une appréciation toute nouvelle de Beijing, parce qu’ils ne savent pas où se trouvent ces endroits et qu’ils ne pensent pas que Beijing a autant de choses à dévoiler. ”

Aux yeux d’Hubert, Beijing est une ville de tolérance et de diversité, où la tradition et la nouveauté se mêlent et s'entrechoquent, notamment grâce à la rénovation et à la mise en valeur des vieilles rues et des hutongs, ce qui rend l'expérience de la culture pékinoise encore plus riche.

“ Les gens de la vieille génération préfèrent rester et vivre là-bas, les gens de la jeune génération veulent entrer dans les anciennes rues comme la rue oblique Yang Meizhu, avec curiosité et un esprit de consommation, de cette façon, la culture de Beijing sera parfaitement représentée. ”

Au cours de ses 20 années en Chine, Hubert a vu de ses propres yeux l’amélioration de l'environnement, le développement rural et l’évolution du visage de la ville. Écoutons-le:

''Tout d'abord, la gestion de l'environnement, y compris l'amélioration du smog et la vulgarisation des véhicules à énergie nouvelle ; ensuite, la modernisation de la Chine, la campagne chinoise est également moderne ; ce que j'ai ressenti le plus à Beijing, c'est le développement du métro.

J'ai l'impression que parfois, lorsque je quitte Beijing pour des vacances d'été, je n'ai pas beaucoup de temps pour m'asseoir dans le métro, mais au début de l'année scolaire, je prends le métro, qui va jusqu'à la 19e ligne !''

Au cours de ses années en Chine, Hubert a profondément ressenti que la Chine était un pays uni, amical et épris de paix. Il affirme que la pensée philosophique traditionnelle chinoise "harmonie et différences, beauté et richesse" a inspiré le développement du monde d'aujourd'hui.

"Je pense que la Chine est un pays épris de paix, qu'elle s'efforcera toujours d'éviter certains conflits au niveau international et qu'elle plaidera autant que possible pour que chaque nation et chaque pays ne se concentrent pas sur 'ses différences' ou 'ses divergences d'idées',

mais plutôt, dans la mesure du possible, pour qu'ils s'unissent et forment une seule force, ce qui est l'incarnation de la recherche d'un terrain d'entente tout en préservant les différences.''

A présent, Hubert étudie au département de génie industrielle de l’Université de Qinghua. Il indique que ces dernières années, la Chine est remarquable dans la construction de nouvelles infrastructures, de nouvelles énergies et de nouvelles technologies.

Ce sont les directions vers lesquelles il s'efforce d’étudier. En parlant de son projet à l’avenir, il déclare :

“ C’est la Chine qui m’a appris à comment aimer la patrie. J’espère qu’à l’avenir, je pourrai redonner à mon pays, à la Chine qui m’a nourri et j’apporterai ma contribution pour servir de pont d’amitié entre le Brésil et la Chine. ”