Le sommet de l’Otan à Vilnius s’est clôturé le 12 juillet, avec à la clé un communiqué conjoint publié la veille, mentionnant une douzaine de fois la Chine et affirmant une fois de plus qu’elle représentait un « défi systémique » pour la sécurité euro-atlantique. Selon le calendrier de l’Otan, ce sommet devait se concentrer sur la situation en Ukraine et la question de l’expansion. Pourquoi viser à nouveau la Chine ? En fait, ce n’est pas surprenant.