« Les investisseurs mondiaux ont envie de retourner en Chine pour faire du business », c’est le point de vue des experts d’institutions d’investissement cité récemment par le journal économique britannique « Financial Times ».
Depuis le 8 janvier, la Chine est entrée dans une nouvelle phase de contrôle et de prévention de l’épidémie. Actuellement, au sein du pays, la fréquentation dans le quartier commercial a augmenté, les marchés de la culture et du tourisme ont repris progressivement et de nombreuses régions ont entamé de grands projets. C’est « une Chine qui bouge ».
Pendant trois ans, certaines personnes aux Etats-Unis cherchaient toujours à faire véhiculer leur faux raisonnement. Lorsque la Chine mettait en place des politiques sanitaires strictes pour faire face à la situation épidémique sévère, elles ont exigé que la Chine « supprime les contraintes », prétendant que la confiance des investisseurs étrangers a baissé. Lorsque la Chine a soulagé les contraintes sanitaires, elles ont avancé que l’épidémie en Chine présente des risques aux entreprises étrangères. Peu importe ce que fait la Chine, leur idée reste la même, c’est-à-dire d’essayer par tous les moyens possibles de « transférer » la chaîne industrielle hors de Chine. Cela démontre que ces personnes s’entêtent dans leurs préjugés vis-à-vis de la Chine et cherchent à la contenir.
Seulement, ces personnes n’ont pas atteint leur objectif. Les données montrent qu’en 2020, l’utilisation réelle des capitaux étrangers par la Chine a augmenté de 6,2% en glissement annuel. En 2021, ce taux de croissance a atteint 14,9%.
Ce qui attire les investissements étrangers, ce sont aussi les avantages irremplaçables de la chaîne industrielle de la Chine. La liste des fournisseurs d’Apple pour l’exercice 2021, publiée en octobre 2022, montre que 150 des quelque 190 fournisseurs ont des usines dans la partie continentale de la Chine. Il n’y a pas si longtemps, ZEISS, leader mondial de l’industrie de l’optique et de l’optoélectronique a posé la première pierre de sa nouvelle base de R & D et de production à Suzhou. Selon Xie Lei, directeur de l’exploitation de ZEISS Chine, dans un rayon de 200 kilomètres de cette base, 80 % des fournisseurs constituent leurs bons partenaires. Les avantages de la chaîne industrielle locale mature demeurent l’une des raisons décisives de l’investissement de ZEISS.
Le site de BASF (Guangdong) Verbund a officiellement démarré la production. Le projet de mise à niveau à grande échelle de la base de production BMW Brilliance a officiellement été inauguré à Shenyang ; le groupe Panasonic a transféré la production et la vente d’équipements de la chaîne du froid en Chine... Ces dernières années, des investisseurs étrangers multiplient leurs activités en Chine, en raison de l’immense marché de 1,4 milliards de personnes, mais aussi parce que la Chine a toutes les catégories industrielles de la Classification des Nations Unies par industrie et que son ouverture ne cesse d’être élargie. L’innovation devient ainsi le premier moteur du développement de la Chine, et une belle perspective de développement se précise déjà dans le pays.
Récemment Goldman Sachs et Morgan Stanley ont tous révisé à la hausse leurs prévisions pour la croissance économique chinoise pour 2023. Plusieurs institutions économiques internationales prévoient également un rebond économique en Chine, à mesure que la prévention et le contrôle des épidémies du pays entrent dans une nouvelle phase, que les diverses politiques prennent les effets. Les analystes ont souligné que l’économie chinoise joue un rôle d’« accélérateur » irremplaçable pour l’économie mondiale.
En revanche, la récession est le consensus partagé par des économistes et investisseurs quant à l’économie américaine. En 2022, la Fed a adopté une politique agressive de hausse des taux d’intérêt en réponse à une inflation intérieure élevée. Les économistes américains ont noté que les Américains pourraient en souffrir au premier semestre de cette année en raison de l’effet décalé de la politique monétaire. Il est temps pour certains politiciens américains de penser à gérer leurs propres affaires. La manipulation politique ne peut pas vaincre la loi économique, et cette manipulation risque de bloquer son propre chemin finalement.
