​La qualité de l'air à Beijing pendant les JO a son plus haut niveau depuis de nombreuses années

(Photo/VCG)

Selon des responsables, la concentration en particules PM 2,5 dans l'air à Beijing a atteint un niveau record pendant les Jeux olympiques d'hiver.

Les données du ministère chinois de l'Ecologie et de l'Environnement ont ainsi montré que le 4 février, à l'ouverture des Jeux, la densité atmosphérique des particules malsaines dans la capitale était de 5 microgrammes par mètre cube. A la date du 17 février, la densité moyenne du polluant pendant les Jeux s'élevait à 24 microgrammes par mètre cube.

La qualité de l'air était la meilleure qui ait été enregistrée depuis le début de la surveillance des PM 2,5 en 2013, a déclaré le 18 février Wang Jinnan, directeur de l'Académie chinoise de planification environnementale du ministère et également membre de l'Académie chinoise d'ingénierie, lors d'une conférence de presse au Centre des médias de Beijing 2022, notant qu'« en tant qu'hôte des Jeux olympiques d'été et d'hiver, Beijing a produit un miracle dans l'amélioration de la qualité de l'air dans les mégapoles au cours des cinq dernières années ». La densité moyenne de PM 2,5 dans la ville en 2021 était de 33 microgrammes par mètre cube, en baisse de 40 % par rapport à 2017, a-t-il ainsi noté.

Selon Zhang Dawei, directeur adjoint du département de la gestion de la qualité de l'air du ministère, la qualité de l'air dans la région Beijing-Tianjin-Hebei jusqu'à présent pendant les Jeux olympiques d'hiver était bien meilleure qu'à la même période de l'année dernière, avec une baisse de 40 % de la densité moyenne de PM 2,5 d'une année sur l'autre.

Cette amélioration considérable est le résultat des efforts constants du gouvernement pour contrôler la pollution de l'air dans la région, bien que les conditions météorologiques favorisant la dispersion des polluants atmosphériques y aient également contribué, a-t-il conclu.

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