Initiative « la Ceinture et la Route » : Power China alterne performances et développement humain
Faisant partie des entreprises qui accompagnent la matérialisation de l’Initiative « la Ceinture et la Route », Power China est dans la réalisation de grands projets de développement un peu partout dans la monde, A ce jour, ses performances ne sont plus à démontrer. Outre la plus-value qu’elle apporte au développement socio-économique des pays où ses projets sont implantés, cette entreprise chinoise sait aussi donner l’espoir à ses employés, même étrangers, grâce à son approche de développement humain, concept qu’elle alterne avec des performances économiques.
Muhammad Ishtiaq et Nabeel Hussein, tous deux Pakistanais, travaillent chez Power Chine dans des projets d’infrastructures et d’énergie, et se disent fiers de ce que ce groupe chinois leur apporte en termes d’indépendance et d’autonomie financière.
« Je considère Power China comme ma deuxième famille », avoue Muhammad Ishtiaq qui y travaille déjà depuis six ans. S’il continue encore dans cette entreprise, c’est parce qu’il estime que la sécurité des employés érigée en règle d’or. Bien avant, Muhammad Ishtiaq vivait en Irak où il a dû quitter à cause des menaces sécuritaires.
« Cela fait quelques années depuis que je travaille à Power China Shandong, c’est vraiment une période précieuse dans ma carrière. Je suis très fier d’être membre de la famille Power China, car j’ai une forte passion pour cette entreprise, avait déclaré Muhammad Ishtiaq, responsable de la sécurité du projet en Arabie Saoudite, lors de la cérémonie de remise des prix 2019 de Power China Shandong.
Photo : Muhammad Ishtiaq (2e à gauche) et ses collègues
Tout commence en 2015, lorsque Muhammad Ishtiaq signe à Power China comme responsable de sécurité d’un projet localisé en Arabie Saoudite. Muhammad Ishtiaq, qui n’a pas l’habitude de reculer devant les obstacles, n’a pas eu peur des conditions environnementales défavorables tout autour du site du projet. Très vite, il a surmonté toutes ces difficultés, pour se lancer dans le travail et s’assurer que tout allait bien selon les normes requises. C’est d’ailleurs dans ce sens que le projet MGS Phase II de Power China, dont il avait la charge de sécuriser, a finalement reçu le « Project Execution Award », une approbation qu’accorde l’Institut américain de construction aux projets qui excellencent en performance.
Photo : Muhammad Ishtiaq travaille sur le chantier
Muhammad Ishtiaq travaille également dans projet Gizan, nouvellement lancé en 2018, toujours Arabie saoudite. En tant que responsable du projet, il a pour but de renforcer les capacités professionnelles de toute l'équipe sous sa direction. C’est un bon exemple de Power China Shandong, qui a fait que beaucoup de responsables du projet deviennent de véritables chenilles ouvrières de cette firme chinoise.
Photo : Ishtiaq échange avec ses collègues
Lorsqu’il lui arrive parfois de voir d’un œil d’observateur des infrastructures construites par Power China en Arabie Saoudite, Ishtiaq se montre ému et affirme « nous devrions saisir les opportunités offertes par Power China et fournir d’efforts pour un bel avenir. »
Photo : Nabeel Hussain, ingénieur civil sur le projet Al Bahah en Arabie Saoudite
Lorsque le projet de la centrale électrique de Rumaylah démarre en 2018, en Irak, Nabeel, l’autre Pakistanais de Power China, a rapidement rejoint le projet, il voyait dans ce projet, la sécurité dont bénéficient les employés de Power China. Nabeel devient donc l’un des premiers employés pakistanais à œuvrer au sein de la compagnie. La sécurité des employés de Power China est tellement essentielle que rien n’est laissé au hasard dans la protection du personnel. Des véhicules de protection sont mobilisés jour et nuit pour suivre et contrôler tous les déplacements des travailleurs.
Photo : Nabeel Hussain est en train de mesurer l'espacement des fondations de construction sur le chantier
En 2020, dans le contexte du COVID-19, les projets en Irak avaient connu un temps d’arrêt. C’était l’occasion pour Power China de mobiliser un nombre important de masques médicaux pour les employés locaux, tout en partageant des expériences en matière de prévention de l’épidémie avec gouvernement local.
Conscient des actions salvatrices que mène son entreprise, Nabeel s’est montré engagé dans ses tâches quotidiennes, avec à la clé le respect des gestes barrière, il n’a pas quitté le chantier alors que les travaux étaient arrêtés. Et pour ne pas s’ennuyer et oublier certains moments, Nabeel prenait plaisir à prendre une tasse du thé au lait. Il y avait des moments où il invitait ses collègues chinois chez lui à la maison pour ce même rituel du thé. Plus qu’un réconfort, Nabeel profitait aussi de ces rassemblements pour apprendre le Mandarin.
Muhammad Ishtiaq et Nabeel Hussain ne sont pas les seuls étrangers recrutés par Power China, beaucoup d’étrangers travaillent également dans cette entreprise. Le sentiment d’appartenir dans ce groupe est tellement fort et important, au point que Power China a lancé une série d’activités tendant à renforcer les liens d’amitié.
Un recueil de vocabulaires anglais en matière de construction est depuis lors édité par Power China, afin de favoriser l’apprentissage. C’est le cas également des compétitions de tir à la corde et d’autres activités ludiques. Des étrangers qui travaillent au sein de Power China, connaissent davantage la culture de la Chine et des entreprises chinoises. A mesure que des projets de construction des centrales électriques voient le jour le long de la Route de la soie, de plus en plus Power China enchainera de belles performances.