Commentaire : l’exportation des galettes du Xinjiang met à nu les mensonges occidentaux

RCI 2021-11-17 21:49:49
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« Les galettes fabriquées selon votre demande partiront aujourd'hui et devront arriver en Russie dans 5 jours. » « Merci beaucoup ! Nous aurons encore quelques commandes pour vous. » Extrait d’une récente conversation par visioconférence entre un commerçant basé à Khorgos, au Xinjiang, et son client russe. Le 13 novembre, des camions chargés d'un million de galettes d’Ili, les « nang », sont sortis de la Chine par le port de Khorgos. Destination : la Russie. C’est la première exportation des « nang » d’Ili vers le marché européen.

L'accès aux nouveaux marchés signifie de nouvelles opportunités. Au cours des deux dernières années, la préfecture autonome kazakhe d'Ili a fait la promotion de sa spécialité culinaire, le « nang », sur les marchés d'Asie centrale. Un exemple qui illustre le développement rapide du Xinjiang grâce à la coopération dans le cadre de « la Ceinture et la Route ».

« J'ai visité de nombreuses entreprises au Xinjiang. J’apprécie l'agneau, les fruits, les légumes ainsi que les galettes de la région. Mes yeux sont témoins de la prospérité du Xinjiang. » Lors du Forum 2021 sur le développement du Xinjiang, l’ambassadeur argentin en Chine, Gustavo Sabino Vaca Narvaja, avait dit que le Xinjiang jouait un rôle clé dans la construction de « la Ceinture et la Route ». Il en avait d’ailleurs profité pour inviter d’autres personnalités à visiter le Xinjiang. Question de couper court aux mensonges véhiculés au sujet de cette région.

Les propos de l'ambassadeur argentin illustrent le consensus au niveau de la communauté internationale au sujet du Xinjiang. Lors de ce forum auquel ont participé une trentaine de pays et d’organisations internationales, les participants ont présenté leurs témoignages sur le développement du Xinjiang de ces dernières années. Beaucoup ont parlé de l’ouverture de cette région, qui est un facteur important pour son développement.

On se souvient qu’en 2015, le gouvernement chinois avait décidé de faire du Xinjiang la zone centrale du couloir économique de la "Route de la Soie". Aujourd'hui, le Xinjiang est devenu un canal important pour les échanges des pays riverains de « la Ceinture et la Route » et une partie importante de l'ouverture de la Chine vers l'ouest. C’est le cas du train Chine-Europe. Il y a quelques jours le 5000ème train Chine-Europe de cette année est sorti du pays par le port d’Alashankou du Xinjiang.

Avec une plus grande ouverture, la force motrice de l'économie du Xinjiang orientée vers l'exportation s'avère plus importante. À l'heure actuelle, le Xinjiang entreprend la coopération avec plus de 50 pays et régions de « la Ceinture et la Route ». Le directeur du bureau de Beijing de l’agence de presse indonésienne Antara, Muhammad Irfan Ilmie, s'est rendu deux fois au Xinjiang. Selon lui, le Xinjiang développe constamment diverses industries, et travaille inlassablement pour affirmer son rôle de la zone centrale du couloir économique de la Route de la Soie.

Très impressionné par l'agriculture, l'élevage et le développement technologique du Xinjiang, l'ambassadeur argentin en Chine, Gustavo Sabino Vaca Narvaja, affirme qu'il voit « des opportunités de coopération dans beaucoup de domaines ».

Les habitants du Xinjiang sont les plus grands bénéficiaires de l'ouverture. Selon les statistiques, au cours des trois premiers trimestres de cette année, le PIB du Xinjiang était de 1139,6 milliards de yuans, soit une augmentation de 8,8 % en glissement annuel, tandis que le revenu disponible par habitant des résidents urbains et ruraux a augmenté respectivement de 9 % et 11,5 %.

Les mensonges montés de toute pièce par les forces antichinoises des pays occidentaux ne tiennent plus face aux vérités irréfutables. Par conséquent, les forces antichinoises n’ont plus rien à proposer. C’est ce qu’a fait remarquer l'écrivain français Maxime Vivas qui s'est rendu deux fois au Xinjiang en 2016 et 2018. Le seul but de diffuser ces mensonges, dit-il, est de perturber le Xinjiang et la construction de « la Ceinture et de la Route », et d'entraver le développement de la Chine.

« On doit se regarder longtemps avant de songer à condamner les gens », dit un vieil adage européen. Grâce aux mesures antiterroristes efficaces et à la politique de l’ouverture élargie, les habitants du Xinjiang mènent actuellement une vie meilleure. Or dans des pays occidentaux, à l’instar des États-Unis, les Amérindiens sont contraints de vivre dans des zones réservées dépourvues de terres et de ressources naturelles. La discrimination raciale est encore monnaie courante dans ce pays. C’est facile de faire la distinction entre le pays qui protège les droits de l'homme et celui qui les piétine.

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