Xinjiang : les chiffres parlent contre les mensonges

RCI 2021-09-26 20:53:32
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La Chine a publié ce dimanche 26 septembre le Livre blanc sur le développement démographique du Xinjiang, un document qui s’appuie sur des données bien fournies pour raconter la succes story sur la croissance des populations d’ethnies minoritaires dans le pays unifié et multiethnique qu’est la Chine. Des faits réels qui démentent une fois de plus les mensonges fabriqués par les forces antichinoises de l’Occident.

Le Xinjiang se situe dans le nord-ouest de la Chine, au cœur de l’Eurasie. La vaste région est habitée par de multiples ethnies. Résultat du développement socio-économique et des changements de mentalité au fur et à mesure que la région progresse sur le chemin de l’industrialisation, de l’urbanisation et de la modernisation, le développement démographique du Xinjiang affiche de nouvelles tendances : la baisse de la natalité et de la mortalité, le ralentissement de l’augmentation de la population.

Les chiffres sont éloquents : durant les 10 ans de 2010 à 2020, le Xinjiang s’est classé à la 4e place nationale en termes de rythme de croissance démographique, à la 8e place nationale en termes de volume d’augmentation. La population ouïgoure a connu une croissance particulièrement rapide : de 8 345 600 en 2000 à 11 624 300 en 2020, soit une hausse annuelle de 1, 67%, un niveau dépassant de loin le niveau moyen des ethnies minoritaires. De quelle manière qu’une ethnie qui continue de devenir plus nombreuse ferait l'objet d’une « extinction » ?

Et ce n’est pas tout. Selon les indices des Nations Unies sur le développement humain, de très nettes améliorations ont été constatées au Xinjiang aux niveaux de l’espérance de vie, de la qualité de l’enseignement et du niveau de vie. En 2019, l’espérance de vie dans la région était moyennement de 74,7 ans, soit 2,35 ans de plus par rapport au niveau de 2010. Chez les Ouïgours, pour chaque 100 000 personnes, 8 944 avaient fait des études supérieures, en hausse de 6 540 personnes en comparaison avec 2000.

La croissance démographique dans le Xinjiang en dit tout sur la stabilité sociale garantie par les mesures de lutte anti-terroriste prises par le gouvernement central. Fermant leurs yeux devant ces faits, les éléments antichinois de l’Occident ont fabriqué des mensonges du « travail forcé », de la « stérilisation forcée » ou de l’ « extermination culturelle », et ont attaqué les industries du coton, de la tomate et de la photovoltaïque du Xinjiang. Ce qu’ils recherchent est juste de priver aux peuples du Xinjiang de leurs droits de travailler et de se développer, et de repousser la région à retourner dans l’enfermement et la pauvreté.

Mais les personnes justes ne se laissent pas duper. En avril dernier, l’influenceur israélien Raz Galor est venu visiter le Xinjiang. Par la suite, il a partagé ce qu’il avait découvert avec ses propres yeux dans la région. Il a dit : « Les gens du Xinjiang ont depuis toujours la tradition de cultiver du coton, personne ne les a forcés de le faire. Et ils le font mieux que n’importe quel autre peuple du monde. » Il a aussi rencontré des jeunes locaux qui nourrissent de beaux rêves, qui sont capables de réfléchir. « C’est leur vie réelle. Les peuples du Xinjiang ne sont pas du tout enfermés ! » A dit le blogueur.

Ces défenseurs des droits de l’homme autoproclamés ont pourtant des antécédents bien noirs. Exterminer des peuples autochtones, provoquer la guerre et causer la mort des millions de personnes innocentes, massacrer des civils dans d’autres pays…autant de crimes commis par les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux.

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