Commentaire : Le soi-disant « tribunal ouïgour » empêche le déroulement normal de la lutte globale contre le terrorisme

RCI 2021-09-14 21:59:56
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La deuxième audience du soi-disant « tribunal ouïgour » a eu lieu le 13 septembre au Royaume-Uni. Ce tribunal qui n’est pas du tout digne de son nom, est dépourvu de tout fondement, et n’est pas reconnu au sens du droit international. Il est une nouvelle véritable farce politique.

Ce « tribunal ouïgour » n’est qu’une organisation privée montée de toutes pièces au Royaume-Uni sous forme d'une société privée à responsabilité limitée par garantie et est financée par le Congrès mondial des Ouïgours. Selon les Nations Unies, le « Congrès mondial des Ouïgours » est étroitement lié à l’organisation terroriste « Mouvement islamique du Turkestan oriental ». Il est l’auteur des activités séparatistes terroristes au Xinjiang. Le Congrès bénéficie du soutien de la National Foundation for Democracy (NED), une organisation qui a augmenté depuis 2016 ses financements vis-à-vis des forces terroristes du « Turkestan oriental ». C’est également elle le plus gros sponsor des forces séparatistes du Xinjiang.

Cette audience reprend le vieux jeu : réunir des « acteurs » pour raconter des histoires infondées, et des « experts » qui n’ont jamais mis pieds au Xinjiang, pour donner des leçons à propos des affaires du Xinjiang. Leur stratégie consiste à répéter de fausses accusations contre la Chine, telles que le « travail forcé » ou le « génocide ». Leur mensonge et leur théâtre ne plaisent qu’aux forces hostiles à la Chine. Comment peut-on leur accorder la crédibilité ?

Il est à souligner que la deuxième audience du « tribunal ouïgour » a eu lieu un jour avant le 11 septembre, jour de commémoration du 20e anniversaire des attentats terroristes, à New York. Ce tribunal est non seulement une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine, mais jette aussi le discrédit sur les efforts du monde entier dans la lutte contre le terrorisme.

« Je reviens demain avec les fruits secs », voici les derniers mots d’Abdugheni Turdi, un fonctionnaire du district de Shache du Xinjiang, qu’il a adressés à sa femme le soir du 27 juillet 2014. Mais il n’était plus revenu, comme prévu. L’homme a été cruellement assassiné quelques heures plus tard par des terroristes. De 1990 à fin 2016, des milliers des violences terroristes ont eu lieu au Xinjiang, coûtant la vie à de nombreux habitants de cette région.

Afin d’assurer la sécurité des personnes et de leurs biens, le gouvernement chinois a adopté de fermes mesures antiterroristes et de déradicalisation au Xinjiang, lesquelles ont d’ailleurs porté des fruits. Depuis la mise en œuvre de ces mesures, quatre ans de suite, aucune violence terroriste n’a eu lieu dans la région. Des progrès sans précédent ont également été réalisés en matière de développement économique et social et de protection des droits humains.

Graham Perry, avocat britannique auprès de la Cour internationale d'arbitrage, a récemment fait savoir qu’il n’était nullement question d’un quelconque « génocide » au Xinjiang. Sinon, on allait voir des Ouïgours, fuir le Xinjiang, pour chercher refuge ailleurs. Aussi, a-t-il soutenu, il n’existe aucune photo ou toute autre preuve de l’existence du « génocide ».

En réalité, le soi-disant « tribunal ouïgour » n’est qu’un autre pion de manipulation dont se servent les forces occidentales. Peu importe comment il se déguise, il ne peut pas changer sa nature. Peu importe combien d’audiences à venir, cela n'entravera pas le processus de développement du Xinjiang.

On se demande si finalement ces puissances occidentales n’ont pas encore appris des conséquences néfastes de leurs actions, voulant toujours se ranger derrière certaines forces terroristes, contre la volonté de la communauté internationale?

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