Commentaire : « Présomption de culpabilité » , le service de renseignement américain fait encore rire le monde

Le service de renseignement américain vient de fabriquer un soi-disant rapport d'enquête sur les origines de la COVID-19. Un rapport sans conclusion, mais qui considère que l’absence de conclusion est due à la Chine. La Maison Blanche a ensuite publié une déclaration, tentant d’accuser la Chine d'« obstruction aux enquêtes internationales ».

Encore une série de sales coups ! Comme chacun le voit, le service de renseignement américain prouve par son piteux comportement qu’il fabrique des rapports injustifiés et agit comme les acolytes des politiciens américains. Comme l'a indiqué le Dr Sten H Vermund, doyen de la faculté de santé publique de l’Université Yale, le service du renseignement est le moins susceptible de fournir des indices ou des avertissements à ce sujet. Le gouvernement américain utilise le service du renseignement pour remonter aux origines du virus, il s’agit d’une « réponse à des fins politiques plutôt que médicales ».

En effet, la communauté internationale est lucide depuis le début de la soi-disant enquête de traçage des origines du virus par le service de renseignement. Il ne s'agit que d'une manipulation purement politique.

Chercher les origines de la COVID-19 est un travail scientifique qui doit être mené par des scientifiques. L'histoire prouve que chaque traçage des origines d'un virus est compliqué, et il est normal que ce travail dure plusieurs années. Cependant, cette fois, le gouvernement américain a demandé au service du renseignement de mener cette enquête dans un délai de 90 jours. Il n’accorde aucun respect à la science et veut tout simplement que son service du renseignement joue encore le jeu de « présomption de culpabilité ».

Pour le service du renseignement américain, le traçage des origines du virus est un travail inattendu et surprenant. Malgré ses pouvoirs magiques montrés dans des productions hollywoodiennes, il n'arrive pas à trouver de réponses. Obligé de rendre son « devoir », il a donc fabriqué un vague rapport, répondant positivement à l'attente des politiciens américains.

Il est clair que ce soi-disant rapport ne sert à rien, qu’il s’agit justement d’un devoir rendu par le service du renseignement américain. La communauté internationale ne le prendra pas au sérieux, on le lira comme une fiction pour se distraire. Un internaute qui s’est donné la peine de le lire a dit ainsi : le rapport dit tout et rien.

Le service du renseignement américain est réputé pour « mentir, tromper et voler ». La « présomption de culpabilité » est l’une de ses marques de fabrique. Qui au monde le croira encore, après le tube contenant de la poudre blanche exhibé par le secrétaire à la Défense des États-Unis de l’époque avant de déclencher la guerre en Irak et la vidéo montée par les Casque blanc en Syrie ! Le service du renseignement américain ment et fabrique des accusations pour soutenir les complots du gouvernement américain. Il est un outil connu de l’hégémonie américaine.

Prenons l'exemple du récent cas concocté par le FBI contre le professeur américain d’origine chinoise Anming Hu. En 2018, le FBI a lancé une enquête sur ce professeur de l'université du Tennessee. Lors de l'audience du tribunal en 2021, l'agent du FBI Kujtim Sadiku a admis qu'il avait douté du rôle d’espion d’Anming Hu, après avoir lu quelques documents en chinois traduits par Google Traduction. Finalement, on a compris que les accusations contre Anming Hu se sont révélées fausses.

Il en est de même pour le soi-disant rapport du traçage des origines de la COVID-19. Le service du renseignement américain tente encore de jouer le jeu de « présomption de culpabilité » sans aucune preuve à l'appui. Avec son rapport qui n’a aucune valeur scientifique, le service de renseignement américain fait rire le monde entier.

À l'heure actuelle, le nouveau coronavirus mute fréquemment, la prévention et le contrôle de l'épidémie restent toujours une tâche compliquée et sérieuse. Les États-Unis, obsédés par la manipulation politique, sont devenus le plus grand obstacle dans la coopération internationale dans la lutte contre l'épidémie, suscitant l'indignation de l'opinion publique mondiale. Les États-Unis doivent revenir sur la bonne voie du traçage scientifique et de la coopération dans la lutte contre l'épidémie dès que possible, afin de ne pas porter atteinte aux autres et à eux-mêmes. Les faits l’ont prouvé : la politisation du traçage des origines du virus rend le service du renseignement américain encore plus ridicule, la tentative de certaines personnes aux États-Unis de culpabiliser la Chine restera vaine.