Commentaire : les réalisations du Xinjiang en matière de droits de l’homme mettent une fois de plus en évidence le grand mensonge concocté par l’Occident

Le Bureau d’Information du Conseil des Affaires d’État de Chine a publié le 14 juillet, un livre blanc intitulé « Respect et protection des droits de tous les groupes ethniques au Xinjiang », dans lequel le gouvernement chinois a présenté, d’une manière globale et multidimensionnelle, soutenu avec des données et des chiffres concrets, la jouissance des groupes multiethniques du Xinjiang des droits civils, politiques, économiques, culturels, et de la liberté de croyance religieuse. On peut constater des progrès historiques de la cause des droits de l’homme au Xinjiang, grâce à l’adhésion du Parti au pouvoir et du gouvernement chinois à la philosophie des droits de l’homme « centrée sur le peuple ».

Selon le livre blanc, depuis sa fondation, la Chine nouvelle adhère à l’égalité ethnique, l’unité ethnique, la prospérité et le développement communs de tous les groupes ethniques comme les principes fondamentaux pour résoudre les questions ethniques et gérer les relations ethniques. Depuis la fondation de la région autonome ouïgoure du Xinjiang en 1955, tous les groupes ethniques participent aux affaires nationales, gèrent les affaires locales et exercent les droits démocratiques à la base sur un pied d’égalité. Autant d'éléments qui ont posé une base solide pour le développement des droits de l’homme au Xinjiang.

Pendant un certain temps, les forces du « Turkestan oriental », tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, se sont entendues pour fomenter et exécuter des milliers d'actes de terrorisme violent, menaçant gravement le droit à la vie et la liberté des personnes de tous les groupes ethniques du Xinjiang. Depuis la fin 2016, soit plus de quatre années consécutives aucun cas de violence ou de terrorisme au Xinjiang n'a été constaté. De plus, l’économie et les moyens de subsistance de la population ont bénéficié d'un développement rapide.

Selon les données du livre blanc, entre 1978 et 2020, les revenus disponibles par habitant des résidents urbains et ruraux du Xinjiang ont été multipliés respectivement par 108,2 et 116,9 en termes nominaux. Grâce à une série de mesures efficaces, jusqu’à la fin 2020, les 2 millions 730 mille habitants ruraux démunis du Xinjiang ont pu sortir de la pauvreté selon les normes actuelles. Le problème de la pauvreté absolue a par ailleurs été historiquement résolu dans la région autonome. On peut constater que tous les groupes ethniques du Xinjiang ont des chances égales de développement, et que l’objectif du développement est de parvenir à une prospérité commune.

Toujours selon le livre blanc, malgré les mensonges répétés de certains Occidentaux au sujet de soi-disant « démolitions de mosquées », les mosquées au Xinjiang se sont avérées bien équipées en services médicaux et en écrans électroniques, ordinateurs et autres équipements, offrant ainsi un grand confort aux pratiquants.

L’autre gros mensonge dont parlent les forces occidentales antichinoises, le soi-disant « génocide », est tout aussi ridiculement insoutenable. Au cours des 40 dernières années, la population ouïgoure du Xinjiang est passée de 5 millions et demi à 12 millions 800 mille personnes, et l’espérance de vie est passée de 30 à 72 ans.

Par ailleurs, de nombreux Occidentaux bien informés ont élevé la voix pour réclamer justice. Par exemple, dans son ouvrage intitulé « Ouïghours, pour en finir avec les fake news », l’universitaire français Maxime Vivas a percé à jour certains des mensonges tissés par les médias occidentaux au sujet du Xinjiang en s’appuyant sur son expérience personnelle dans la région.

Actuellement, le Xinjiang se trouve dans la meilleure période de développement de son histoire. À travers la fenêtre du Xinjiang, le monde peut voir comment la Chine a transformé le principe d’égalité ethnique en action concrète dans la protection et le renforcement des droits de l’homme. Les tentatives de certains Occidentaux qui se posent en « défenseurs des droits de l’homme » de faire obstacle à la Chine en perturbant le Xinjiang sont vouées à l’échec.