Commentaire : la réalité du Tibet confond les mensonges concoctés par les forces antichinoises en Occident

RCI 2021-05-22 20:12:39
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Le gouvernement chinois a publié, le 21 mai, le livre blanc intitulé « Le Tibet depuis 1951 : libération, développement et prospérité », démontrant pleinement les réalisations du Tibet en matière de développement au cours des 70 dernières années qui ont suivi sa libération pacifique. Les documents et données historiques détaillés dans le livre blanc ont confondu toutes sortes de mensonges proférés en matière de « droits de l’homme » par les forces antichinoises occidentales au sujet du Tibet. Le livre a permis au monde de découvrir un vrai Tibet.

Les données sont le meilleur miroir. Le PIB du Tibet qui était de 129 millions de yuans en 1951, a dépassé 190 milliards de yuans en 2020. En cette même année, le revenu disponible par habitant des résidents urbains et ruraux du Tibet a doublé par rapport à 2010. Le revenu disponible par habitant des résidents ruraux a maintenu une croissance à deux chiffres pendant 18 années consécutives, une croissance se classant au premier rang du pays. L’espérance de vie a également connu des améliorations. Elle est passée de 35,5 ans en 1951 à 71,1 ans en 2019.

Dans le même temps, l’excellente culture traditionnelle et la liberté de croyance religieuse ont été pleinement protégées et développées au Tibet. Actuellement, le Tibet compte plus de 1 700 lieux de culte du bouddhisme tibétain, avec environ 46 000 moines et nonnes. Comme l’a souligné Chris D. Nebe, réalisateur du documentaire hollywoodien « Tibet: The Truth », maintenant au Tibet, non seulement l’économie, les moyens de subsistance, les infrastructures et l’éducation ont été considérablement améliorés, mais les activités culturelles et religieuses sont également protégées et respectées.

Le bonheur du peuple est le plus important droit humain. Selon le livre blanc, avant la libération pacifique, plus de 90% des habitants du Tibet n’avaient pas de maison, et souffraient de l’insécurité alimentaire et manquaient des vêtements adéquats. En 2020, la superficie d’habitation par habitant des agriculteurs et des bergers tibétains a atteint 41,46 mètres carrés et 33,4 mètres carrés pour la superficie d’habitation par habitant des résidents urbains. L’indice de bonheur a considérablement augmenté. A la fin de 2019, le Tibet a historiquement éliminé la pauvreté absolue.

Devant cette réalité irréfutable, comment les forces antichinoises en Occident ont pu pointer du doigt la situation des droits de l’homme au Tibet? En fait, la question du Tibet n’a rien à avoir avec l’ethnie, la religion ou les droits de l’homme. Il s’agit d’une question de principe majeure touchant à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Chine. Pendant longtemps, les forces antichinoises occidentales n’ont cessé de s’ingérer dans les affaires du Tibet pour tenter de saper la stabilité sociale de cette région autonome de Chine. Leur but est de se servir de la « question du Tibet » comme prétexte pour contenir la Chine. Les soi-disant droits de l’Homme et la religion ne sont que des faux-fuyants.

La communauté internationale en a bien pris conscience depuis longtemps. Pour avoir visité lui-même le Tibet, Muhammad Iqbal du Pakistan, qui s’exprimait lors d’un récent Forum international des groupes de réflexion sur le Tibet, dit ne pas être d’accord de la manière dont certains pays occidentaux se mettent à dénigrer cette région de la Chine. Pour lui, « Le Tibet a réalisé un développement rapide dans les domaines de l’éducation, des infrastructures, de l’industrie moderne, entre autres. Si vous voulez vraiment connaître le Tibet, vous devez vous y rendre pour voir », avait-il lancé.

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