Les mauvaises intentions des politiciens occidentaux ne peuvent pas ternir le coton blanc du Xinjiang

RCI 2021-03-27 20:55:48
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Le ministère chinois des Affaires étrangères a fait savoir, le 26 mars, lors d’une conférence de presse, que la Chine avait sanctionné neuf personnes et quatre entités britanniques à cause de la diffusion des mensonges et de fausses informations menée par elles. C’est une contre-mesure à l’encontre de la partie britannique,qui a sanctionné des personnes et entités chinoises sous le prétexte des droits de l’homme au Xinjiang. Cette réplique précise de la Chine est un signe indiquant au monde extérieur que la Chine n’est pas un pays du genre à tolérer des actes odieux tendant à freiner le développement du Xinjiang et à s’ingérer dans les affaires intérieures de la Chine.

Ces derniers temps, certaines forces anti-chinoises en Occident ont fabriqué des mensonges autour de la situation des droits de l’homme au Xinjiang, stigmatisant ce qu’ils considèrent faussement d’ailleurs le "travail forcé" dans l’industrie cotonnière du Xinjiang.

Tout d’abord, dans son rapport déjà publié, l’universitaire allemand anti-chinois Adrian Zenz a inventé de grands mensonge comme quoi « la Chine a forcé des centaines de milliers de travailleurs de minorités ethniques au Xinjiang à cueillir manuellement du coton par le biais de transferts forcés de main-d’œuvre et de programmes de réduction de la pauvreté ».

En fait, le chapeau du «travail forcé» ne correspond pas à la tête de la Chine, d’autant plus que selon la convention de l’Organisation internationale du travail, le travail forcé consiste à forcer qui que ce soit, sous la menace de toute peine, à effectuer tout travail ou tout service qui ne lui est pas consentant. Ce qui n’est pas le cas au Xinjiang.

Selon les dernières données publiées par les autorités locales de l’agriculture du Xinjiang, le taux de récolte mécanique du coton a atteint 69,83 % au Xinjiang, ce taux est de 95% au Xinjiang du nord. Ces derniers jours, les internautes du Xinjiang ont mis en ligne des photos et des vidéos montrant des charrettes de cotton en train de récolter. Des images contraire à la soi-disant thèse « du travail forcé ». On se demande, quelle mouche a donc piqué Adrian Zenz, pour qu’il affirmé sans rire que « 70% du coton du Xinjiang étaient extrait manuellement ».

Il faut aussi noter qu’au Xinjiang, la récolte du coton est une activité qui génère de grands bénéfices économiques pour la population locale, voire pour de nombreuses personnes d’autres provinces qui viennent travailler dans cette région. A en croire des responsables locaux du Xinjiang, des contrats de travail ont été signés sans contrainte entre ceux qui cueillent et ceux qui cultivent le coton au Xinjiang.

En règle générale, les ouvriers gagnent plus de 10 000 yuans au cours de la saison de récolte en seulement 50 jours en moyenne. Pourquoi refuseraient- ils de faire un travail qui rapporte gros en si peu de temps ?  C’est la raison pour laquelle les cultivateurs de coton du Xinjiang sont en colère contre la propagande des forces occidentales anti-chinoises qui inversent le noir et le blanc. Migit Timit, un cultivateur de coton de la région d’Aksu a dit : «Ces mensonges ne sont pas du tout pour faire valoir nos droits, mais pour laisser le coton de nos paysans pourrir dans les champs, pour nous laisser sans travail, sans nourriture, pour nous ramener à d’anciens jours sombres, et nous ne serons jamais d’accord!»

D’une part, les forces anti-chinoises occidentales se servent de toutes sortes de fausses informations pour discréditer le Xinjiang et créer un prétexte pour imposer des soi-disant sanctions contre la Chine, d’autre part, comme le coton est la branche principale de l’industrie du Xinjiang, les forces anti-chinoises occidentales tentent par tous les moyens d’exclure le Xinjiang de la chaîne mondiale du coton, afin de saper l’économie du Xinjiang et de profiter de l’occasion pour perturber le Xinjiang et mettre en difficulté le développement de la Chine.

Une chose est sûre, c’est que les marché chinois et mondial sont suffisamment grands pour que la culture et les débouchés du coton du Xinjiang ne soient pas fondamentalement affectés par les soi-disant «sanctions». Les intentions sinistres des politiciens occidentaux ne sauraient ternir le coton blanc du Xinjiang.

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