Les États-Unis sont le plus grand auteur des désastres en matière de droits de l’homme dans le monde

RCI 2021-03-25 14:18:59
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La Chine a publié le 24 mars le « Rapport sur les violations des droits de l’homme aux États-Unis en 2020 », révélant la détérioration continuelle de la situation des droits de l’homme aux États-Unis avec des faits et des données détaillés. Cela permet au monde de voir clairement que, la superpuissance qui porte à la moindre occasion des accusations gratuites et impose des sanctions à l’encontre d’autres pays est le plus grand auteur des désastres en matière de droits de l’homme dans le monde et la plus grande menace à la sécurité et à la stabilité mondiales.

Au cours de l’année écoulée, la mauvaise performance des États-Unis dans le domaine des droits de l’homme est évidente pour tous. Le nombre de décès dus à la COVID-19 a jusqu’à présent dépassé les 540 000, les conflits raciaux sont survenus fréquemment et la polarisation politique s’est intensifiée ... Cette situation chaotique aux États-Unis a complètement arraché la feuille de vigne des « droits humains à l’américaine » et a révélé l’hypocrisie des États-Unis qui pratiquent le « deux poids deux mesures » sur les questions des droits de l’homme.

Ce qui est plus déplorable, c’est que dans un contexte où la COVID-19 exacerbe la crise de la gouvernance mondiale, les États-Unis brandissent encore le bâton des sanctions, aggravant la crise humanitaire mondiale. Comme indiqué dans le livre blanc publié par la Chine, face à la catastrophe épidémique, le gouvernement américain a toujours imposé des sanctions unilatérales à l’Iran, à Cuba, au Venezuela, à la Syrie et à d’autres pays, ce qui rend difficile l’accès opportun de ces pays aux fournitures médicales nécessaires pour lutter contre l’épidémie. De hauts fonctionnaires onusiens en charge des droits de l’homme ont appelé en mars de l’année dernière les États-Unis à assouplir ou suspendre les sanctions dans des domaines spéciaux afin d’assurer le droit à la survie de millions de personnes en difficulté. Mais les États-Unis y ont fait la sourde oreille.

L’attitude des politiciens américains envers les immigrants en période d’urgence met également à nu leur cruauté. Selon les statistiques officielles des États-Unis, au 14 janvier 2021, 8848 personnes dans les centres de détention pour immigrants américains avaient contracté la COVID-19. Le Los Angeles Times a publié en octobre 2020 un article selon lequel depuis mars de l’année dernière, le gouvernement américain a expulsé de force au moins 8800 enfants d’immigrants clandestins sans accompagnement, en dépit du risque de propagation de l’épidémie.

Récemment, la BBC a révélé un groupe de photos d’un centre de détention temporaire à la frontière américano-mexicaine, montrant des enfants entassés qui dorment sur des couvertures minces, l’insuffisance de nourriture et des conditions sanitaires préoccupantes. Les tragédies humaines aux États-Unis causées par la xénophobie et la discrimination raciale ont choqué le monde.

Malgré son mauvais bilan en matière de droits de l’homme, Washington s’obstine toujours à se poser en « donneur de leçons en matière de droits de l’homme ». Ces derniers jours, les États-Unis ont rassemblé certains de leurs alliés occidentaux pour calomnier les politiques chinoises concernant le Xinjiang et Hong Kong, dénigrer la cause des droits humains de la Chine et imposer des soi-disant « sanctions » contre la Chine. Ces agissements pervers ont été condamnés par de nombreux pays. Lors de la récente 46e session du Conseil des Droits de l’homme des Nations unies, des représentants de 116 pays, ainsi que des agences onusiennes concernées et des organisations non gouvernementales, ont proposé 347 suggestions en matière d’amélioration des droits de l’homme aux États-Unis. Combien de temps Washington veut-il encore faire l’ignorant ?

Les États-Unis se présentent comme un « défenseur des droits de l’homme » et tentent de s’en servir pour se positionner haut sur le plan moral et s’ingérer dans les affaires intérieures d’autres pays. Cependant, lorsque la situation catastrophique des droits de l’homme aux États-Unis est exposée au grand jour et que les actes hégémoniques des États-Unis mènent à d’énormes catastrophes humanitaires dans le monde, l’auréole des « droits humains à l’américaine » s’est brisée. Ce plus grand auteur des désastres en matière de droits de l’homme dans le monde n’est-il pas honteux de porter des accusations gratuites contre autrui ? !

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