​Adrian Zenz et son consort ne peuvent pas échapper à la justice

RCI 2021-03-19 21:36:03
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« Les Ouïgours ont un proverbe qui dit: “ Si vous jetez une pierre vers le haut et faites attention qu’elle ne vous retombe sur la tête”. Adrian Zenz, c’est un menteur, il ne devrait pas être aveugle et fait attention aux pierres qui lui frappent à la tête». Gulbostan Rozi, originaire de Kashgar, au Xinjiang, a exprimé son indignation lors d’une conférence de presse organisée, le 18 mars, par la région autonome ouïgour du Xinjiang.

Qui est Adrian Zenz ? Cet Allemand de 47 ans, considéré par certaines forces occidentales comme une «autorité de la recherche sur le Xinjiang », est en fait l’auteur de nombreux mensonges sur cette région. Ces dernières années, il a souvent joué un rôle de soi-disant «universitaire» lors des rencontres internationales, mais son identité réelle a été dévoilée depuis longtemps, et les médias occidentaux en ont largement fait écho. En tant que membre de l’organisation d’extrême-droite américaine « Victims of Communism Memorial Foundation », Adrian Zenz est la colonne vertébrale de cette organisation de recherche anti-chinoise. En d’autres termes, l’Anti-Chine est son gagne-pain.

Selon les statistiques, depuis 2018, Adrian Zenz a compiléune bonne douzaine d’articles et de rapports dans le but de dénigrer le Xinjiang. Il a inventé des mots sensationnels allant du soi-disant "travail forcé" à la "stérilisation forcée", du prétendu "génocide culturel" au "génocide ethnique".

Il est assez ironique que ce soi-disant «expert» du Xinjiang ne se soit jamais rendu une seule fois en Chine. Une analyse du rapport d’Adrian Zenz suffit pour connaître que ce rapport est truqué, inventé, sorti de son contexte et incohérent. Ce n’est nullement pas de la recherche universitaire, mais tout simplement un instrument politique sous couvert de la recherche universitaire.

Par exemple, Adrian Zenz a déclaré dans un rapport que « 900.000 à 1,8 millions de personnes sont systématiquement détenues au Xinjiang». Mais selon le site web d’investigation du journalisme indépendant américain Grayzone, ces chiffres sont des conclusions absurdes basées uniquement sur des interviews et des estimations grossières de huit personnes par un groupe anti-chinois.

Il existe depuis longtemps en Occident un phénomène étrange: la rhétorique anti-chinoise, aussi aberrante et mensongère soit-elle, elle répond toujours aux besoins de certaines forces.

Les mensonges ne peuvent pas aller loin et durer longtemps. L’éminent écrivain français Maxime Vivas a démasqué ceux qui ne sont jamais rendus au Xinjiang, mais trouvent plaisir à fabriquer des mensonges à partir de leurs salons. Aussi, un grand nombre de pays ont, lors de la 46ème Session du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies, soutenu la Chine dans sa politique sur la gouvernance de Xinjiang. Tout ceci a aidé à ce que le monde puisse découvrir le vrai Xinjiang, un Xinjiang où l’on mène une vie heureuse à tout point de vue. Les actions anti-chinoises d’Adrien Zenz ont été rejetées par la communauté internationale.

Pendant ce temps, de plus en plus d’habitants du Xinjiang se prononcent pour le démasquer et condamner. Lors de la conférence de presse tenue le 18 mars, des religieux et des habitants locaux du Xinjiang ont mis en lumière les mensonges qu’Adrian Zenz avec des faits et des expériences personnelles à l’appui. C’est le cas de Magit Timit, un cultivateur de coton au Xinjiang, qui n’ pas caché son indignation : "Comment peut-on appeler du ‘travail forcé’ alors que nous cultivons nos propres terres, nous récoltons notre propre coton et nous gagnons de l’ argent pour nous-mêmes?"

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