Commentaire : certains Occidentaux persécutent politiquement des opinions favorables à la situation du Xinjiang

RCI 2021-03-15 21:42:54
Share
Share this with Close
Messenger Messenger Pinterest LinkedIn WeChat

Professeur français, également spécialiste en droit, Christian Mestre a été récemment obligé de démissionner de son poste de déontologue du Projet Eurométropole. L’opinion publique occidentale lui reproche de faire un commentaire positif sur les mesures préventives mises en œuvre dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, pour lutter contre le terrorisme. Des analyses justes d’autant plus que ce professeur français a visité cette région il y a deux ans. Ce traitement réservé à Christian Mestre a suscité des critiques à l’encontre de l’opinion publique occidentale qui se vante de la « liberté d’expression ».

Tout a commencé par le journaliste Jérémy André Florès du magazine « Le Point », qui n’a jamais mis ses pieds au Xinjiang, a rendu public une enquête visant à « dévoiler » les « propos et actes pro-chinois » du professeur Mestre. Les principales preuves proviennent des évaluations objectives de Mestre sur le Xinjiang. Comme il fallait s’y attendre, cet article de « Le Point » a provoqué la colère des forces hostiles à la Chine sur Mestre. Résultat : Christian Mestre a démissionné du poste de déontologue du « Projet Eurométropole » auquel Strasbourg prend part.

Il est à noter que ce projet Eurométropole discute en ce moment de l’autorisation de la mise en œuvre de la technologie 5G, développée par la Société de télécommunication Huawei, dans la ville de Strasbourg. Pour cela, Jérémy André Florès a clairement indiqué sur les réseaux sociaux, que c’était pour l’implantation du Huawai qu’il revenait sur le voyage de Christian Mestre en 2019.

C’est évident que cette pression exercée contre ce spécialiste en droit soit alimentée par des visées politiques, car elle ne fait preuve d’aucun élément objectif en matière de la presse. Ce n’est donc pas étrange de voir certains internautes français s’en prennent à cette enquête basée sur des opinions d’un journaliste connu pour son hostilité envers la Chine. Pour des internautes français, des faits présentés dans cette enquête sont fausses et dénués de tout fondement

Le cas du professeur Mestre n’est qu’une partie émergée de l’iceberg. Dans le but de « contenir la Chine en instrumentalisant la situation au Xinjiang », les politiciens et médias occidentaux trouvent plaisir à fabriquer et propager une série de mensonges liés au Xinjiang. De plus, ils exercent des représailles à l’égard des personnalités et médias qui osent dire la vérité, en les « persécutant politiquement ».

Citons l’exemple du site d’informations américain « Grayzone », qui a dévoilé le mensonge du chercheur hostile à la Chine Adrian Zenz, qui parlait de « génocide » au Xinjiang. Ce média indépendant est étiqueté pour cela comme « négationniste » sur Twitter.

La justice ne cèdera jamais à la méchanceté. Bien que certains Occidentaux ternissent l’image du Xinjiang et tentent par tous les moyens de dissimuler la vérité, de plus en plus d’experts et des journalistes continuent à raconter les faits à l’échelle mondiale.

Par exemple, le célèbre écrivain français Maxime Vivas a mis quatre ans pour écrire un livre intitulé « Ouïgours, pour en finir avec les fakes news ». « ……Je n’ai défiguré ou caché aucun fait que j’ai constaté. J’ai vu un dynamisme incroyable lors de mes deux voyages au Xinjiang », a-t-il affirmé dans une interview accordée aux médias.

Lors de la 46e session du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies, les représentants de nombreux pays ont soutenu la politique chinoise en matière d’administration du Xinjiang dans leurs allocutions. Lors d’une visioconférence parallèlement tenue en marge du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, les participants ont reconnu l’éradication historique de la pauvreté absolue dans la région autonome ouïgoure qui constitue une importante victoire de la protection des droits de l’Homme en Chine. A cette occasion, Osama Abu Saud, enseignant à l’Université El Arish, a qualifié le Xinjiang d’une région bien intéressante et particulière. Selon lui, les populations de diverses ethnies vivent en étroite collaboration et sont très solidaires. Ils y vivent et travaillent en menant une vie heureuse.

Le mal ne peut vaincre le bien. Bien que certains médias occidentaux discrédite le Xinjiang et réprime la vérité, tout cela prouve finalement que « la liberté d’expression » n’est qu’un jeu qui trompe les autres et soi-même et qu’un outil médiatique servant à des desseins politiques. Le développement du Xinjiang est en mesure de résister à l’épreuve du temps et de l’histoire. Les complots destinés à salir le Xinjiang seront bien évidemment un travail en vain !

Partager

Articles les plus lus