Commentaire : les mensonges et les jeux maladroits ne peuvent pas cacher les progrès en matière de la protection des droits de l’homme au Xinjiang

RCI 2021-03-07 22:43:42
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Ces derniers temps, les États-Unis et des pays occidentaux ont répandu de folles rumeurs au sujet de la région chinoise du Xinjiang, ne se sont pas aussi empêchés de jeter le discrédit sur cette région. Une manière pour eux de mettre la pression sur la Chine sous prétexte des droits de l’homme. Lors de la conférence de presse organisée, le 7 mars à Beijing, dans le cadre des « Deux sessions », le conseiller d'Etat chinois et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a répondu clairement à ce sujet : « Le soi-disant 'génocide' au Xinjiang est absurde. Il s’agit d’un mensonge pur et simple fabriqué avec des arrière-pensées.»

Lors de cette conférence de presse, le chef de la diplomatie chinoise a évoqué un nouveau livre du célèbre écrivain français Maxime Vivas « Ouïghours, pour en finir avec les fake news ». « Ce sont ceux qui ne sont jamais allés au Xinjiang qui fabriquent et relaient les fake news », peut-on lire dans l’un des paragraphes du livre.

Certainement, grâce à ce livre, l’opinion publique occidentale en saura davantage sur le Xinjiang. Ce bouquin se vend déjà bien sur Amazon et fait l’objet de bons commentaires : « Un livre qui se base sur des faits et qui dénonce la presse occidentale. » « Un avis différent de ce qu’on entend au quotidien. Point de vue intéressant. » « Clair et direct ! ».

Les mensonges et les jeux maladroits, c’est tout ce que savent faire les forces occidentales hostiles à la Chine, lorsqu’il s’agit de discréditer le Xinjiang. Avec des préjugés idéologiques aux fins de « contrarier la Chine au sujet du Xinjiang », des institutions et des individus occidentaux ont mis en place une usine de fabrication des mensonges contre la Chine, l’accusant de « génocide », de « travail forcé » et de « détention massive ». Pourtant les auteurs de ces soi-disant accusations n’ont jamais mis pieds au Xinjiang, ni présenté les preuves de leurs allégations. Certains médias et politiciens occidentaux les ont relayés pour des fins politiques, dans l’idée de saper la sécurité et la stabilité du Xinjiang et d’entraver le développement de la Chine.

Les mensonges ne peuvent pas aller loin. En plus du nouveau livre de Maxime Vivas, le site d’information indépendant américain « The Grayzone » (la zone grise) a publié plusieurs reportages d’enquête, élucidant la situation au Xinjiang avec des faits et des statistiques. Des preuves tangibles qui infligent un cinglant démenti aux forces anti-chinoises. Lors d’une interview accordée au China Media Group (CMG), le rédacteur en chef du site Web Max Blumenthal a déclaré que les conclusions du rapport sur le Xinjiang concoctées par Adrian Zenz et d'autres chercheurs anti-chinois sont sans fondement.

Parmi ces mensonges, le soi-disant « génocide » est le plus sensationnel. Mais la réalité est que la population ouïgoure du Xinjiang a plus que doublé au cours des 40 dernières années. De 2010 à 2018, en à peine 10 ans, la population ouïgoure du Xinjiang a augmenté de 25%, une croissance 12 fois plus importante que celle de la population han dans la même région. Comment peut-on parler de « génocide » devant cette explosion démographique ?

Les faiseurs de rumeurs aux États-Unis et en Occident devraient réfléchir aux crimes commis par leurs pays. Comme l'a dit le ministre des Affaires Etrangères chinois lors de la conférence de presse, quand on parle du génocide, la plupart des gens pensent systématiquement aux Indiens d'Amérique du Nord au XVIe siècle, aux esclaves africains au XIXe siècle, aux Juifs au XXe siècle et aux populations indigènes de l'Australie, qui se battent encore aujourd'hui.

Pour évaluer la situation des droits de l'homme au Xinjiang, le niveau de vie de sa population sert d’un indicateur clair. Pour ne parler que de la situation des revenus, de 2014 à 2019, le revenu disponible par habitant des résidents urbains du Xinjiang est passé de 23 200 yuans à 34 700 yuans, avec une croissance nominale annuelle moyenne de 8,6%. « Tout le monde a du travail, et touche chaque mois un salaire décent. » Cette phrase est souvent entendue chez le peuple du Xinjiang, ce qui témoigne de l'efficacité de la politique locale de l'emploi et des progrès accomplis dans la protection des droits de l'homme.

Cela est également reconnu par la communauté internationale. Au cours de la 46e session en cours du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, des représentants de nombreux pays ont prononcé des discours de soutien en faveur de la Chine. Lors d’une récente réunion en ligne, les participants ont hautement apprécié la politique active de l’emploi du Xinjiang, qui est « conforme aux lois chinoises, aux normes internationales du travail et aux principes des droits de l’homme », en ajourtant que cette politique participait à la promotion de l’équité sociale et de la justice, et qu’elle protégeait également les droits de tous les groupes ethniques à la subsistance et au développement.

Les rumeurs et les calomnies ne peuvent pas tromper toute la communauté internationale. La porte du Xinjiang est toujours ouverte. Les étrangers dépouillés des préjugés idéologiques sont toujours les bienvenues au Xinjiang. Il faut le voir avant depour le croire, c’est comme ça qu’on pourra mettre fin à toutes les rumeurs liées au Xinjiang.

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