Commentaire : La chaîne britannique BBC, expulsée du marché chinois par sa propre faute

RCI 2021-02-12 20:44:37
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Le 12 février, la Chine a officiellement retiré l'antenne de la BBC World News, parce qu’elle a gravement enfreint les dispositions pertinentes chinoises, n’a pas répondu aux exigences voulant que les informations soient véridiques et impartiales, elle a nui aux intérêts nationaux de la Chine et a sapé la solidarité interethnique du pays. La Chine a déclaré que « la chaîne ne remplit pas les conditions pour diffuser en Chine en tant que chaîne étrangère, elle n’est donc plus autorisée à continuer d’opérer sur le territoire chinois et sa demande de diffusion en Chine, ne sera pas acceptée pour la nouvelle année ».

La décision prise par la Chine se justifie par une nécessité de défendre sa souveraineté et ses intérêts, mais aussi comme une garantie raisonnable et légitime de véracité et d’objectivité des informations. C’est par sa propre faute que la BBC s’est faite expulser du marché chinois de la radiodiffusion et de la télévision.

La BBC, ce média occidental réputé, longtemps installé en Chine, doit clairement reconnaître les règlementations chinoises du secteur qui bannissent tout programme pouvant porter atteinte à l’honneur et aux intérêts de la Chine, toute incitation à la division, à la haine et à la discrimination ethnique pouvant saper la solidarité interethnique. Mais la BBC a choisi d’agir à l’encontre de toutes ces règlementations.

Son dernier documentaire par exemple, « Retour au Hubei », a non seulement malicieusement lié Wuhan à l’origine de l’épidémie, mais il a également emprunté les scènes d’un exercice antiterroriste mené par la Chine, pour donner tort au département antiépidémique chinois, qui selon le documentaire, a fait preuve de violence dans l’exercice de ses fonctions en violant les droits de l’Homme, accusant la Chine de vouloir « couvrir l’épidémie ».

Ces allégations ont déjà été démenties par des experts de l’OMS qui enquêtaient ces derniers jours en Chine sur l’origine de la transmission du virus.

La BBC agit de la même façon dans ses reportages concernant le Xinjiang. Depuis six mois, parmi la quarantaine d’articles publiés sur la région, la BBC a répandu de multiples mensonges, tels que « le travail forcé » ou « le génocide ». Tout dernièrement, la chaîne a parlé de l’existence de « viols systématiques » dans les centres d’enseignement et de formation professionnels au Xinjiang, donnant la parole à une femme ouïgoure, qui en réalité n’avait jamais étudié dans un centre d’enseignement et de formation professionnels. Ce genre de reportage falsifié nuit à la solidarité interethnique de la Chine et porte atteinte aux sentiments du peuple chinois. Il s’agit aussi là d’une preuve qui laisse croire que la BBC est devenue « une machine à rumeurs ».

 En tant que média occidental chevronné comptant une histoire vieille de 99 ans, la BBC fait maintenant l’objet d’une expulsion du territoire chinois. Car la Chine, qui accorde soutien et commodité aux journalistes internationaux conformément à la loi, n’accueille jamais les médias qui la calomnient et attaquent de manière malveillante.

Il est temps pour la BBC de présenter ses excuses à la Chine. Si elle continue de servir des forces hostiles à la Chine, ce qui l'attend n'est certes pas un avenir radieux.

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