Commentaire: Les mensonges autour du « travail forcé » au Xinjiang relèvent du cinéma
« Exagérer, faire des montages délibérés, parler à voix basse, je sens que tout est plein de conspiration, tout relève du cinéma », c’est ce qu’a commenté Einar Hans Tangen, expert des questions internationales aux Etats-Unis, après avoir regardé un reportage vidéo de New York Times, réalisé dans la ville de Kuitun, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang. A travers les filtres étranges et les caméras cachées, ce reportage crée une scène dans laquelle des Ouïgours sont « forcés de travailler ». Alors qu’il ne s’agit que des scènes réalisées à l’aide des effets spéciaux du film.
Certains chercheurs de groupes de réflexion occidentaux, financés par des « bailleurs de fonds » antichinois, ont concocté les soi-disant rapports de « travail forcé » dans le Xinjiang tout en dénigrant sans raison la sécurité du travail et de l’emploi au Xinjiang. Pour ne pas se laisser tromper par les apparences, voici des chiffres éloquents sur l'emploi dans le Xinjiang pour faire connaître la vérité.
Selon les informations publiques, le Xinjiang était autrefois une zone extrêmement défavorisée en Chine. En 2014, le nombre de personnes pauvres enregistrées dans cette région était de 3 131 800. Afin d'aider les habitants à mener une vie stable et décente, le gouvernement local du Xinjiang a fait de la promotion de l’emploi son cheval de bataille. Les travailleurs de tous les groupes ethniques choisissent selon leur souhait la profession, ainsi que les lieux où ils souhaitent travailler. Ils signent également des contrats de travail avec les entreprises concernées conformément à la loi et obtiennent une rémunération correspondante.
Les statistiques montrent que de 2014 à 2019, le nombre total de la population active au Xinjiang est passé de 11 352 400 à 13 301 200, soit une augmentation de 17,2%. Les politiques et pratiques du Xinjiang en matière de sécurité du travail et de l’emploi sont non seulement conformes à la Constitution et aux lois chinoises, mais également aux normes internationales du travail et des droits de l’homme.
Un étudiant diplômé du centre d’éducation et de formation du district de Shache à Kashgar a dit ceci : « Nous n'avons jamais entendu parler de quiconque forcé de cueillir du coton, après avoir terminé ses études au centre. De nos jours, il n’est pas nécessaire d’embaucher un grand nombre d’ouvriers dans la cueillette du coton, d’autant plus qu’il existe des technologies très avancées pour ce genre de travail. Je ne sais pas comment ils ont fabriqué de tels mensonges? »
En fait, pour les populations de tous les groupes ethniques du Xinjiang, travailler dans les autres provinces est un moyen important pour se débarrasser de la pauvreté. Selon les statistiques disponibles, le revenu annuel par habitant des travailleurs migrants du Xinjiang est d'environ 40 000 yuans, ce qui équivaut fondamentalement au revenu disponible par habitant des résidents permanents sur le lieu de travail. Au sein du Xinjiang, ce chiffre est d'environ 30 000 yuans, ce qui est plus élevé par rapport au revenu de ceux qui cultivent la terre. A ce jour, grâce aux mesures visant à aider des villageois à sortir de la pauvreté en les assurant un emploi décent, tout le Xinjiang a pu sortir de la pauvreté depuis mi-novembre 2020.
Les données récemment publiées montrent qu’en 2020, le revenu disponible par habitant dans le Xinjiang, a augmenté de 6 986 yuans par rapport à 2015, avec un taux de croissance annuel moyen de 7,2%, soit 1,1 point de pourcentage supérieur au taux de croissance annuelle en moyenne du PIB. Cela montre pleinement que les habitants du Xinjiang profitent des fruits du développement et que leur vie devient de plus en plus prospère. Le vrai changement des conditions de vie de la population du Xinjiang, étale sur la place publique les mensonges concoctés par certaines forces antichinoises aux Etats-Unis et en Occident au sujet du Xinjiang.
Pour tout dire, aucune attaque ou tentative consistant à sombrer l’image du Xinjiang ne peut effacer la réalité que vit cette partie de la Chine, c’est-à-dire une région prospère et stable. De telles attaques ne sauraient en aucune manière arrêter ou freiner l’élan du développement pris par la Chine. Il ne reste qu’à jeter tous ces mensonges dans la poubelle de l’histoire.