Commentaire : Adieu, le pire secrétaire d'État de l'histoire américaine

RCI 2021-01-21 16:58:05
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Le compte à rebours pour la passation des pouvoirs aux Etats-Unis a commencé. S’il y a une personne qui court dernière le temps, cherchant à provoquer des conflits, à créer des confrontations et à mettre en scène la soi-disant « folie apocalyptique », c’est bien le secrétaire d’Etat américain Pompeo qui se complaît à « mentir, tromper et voler. »

Ces derniers jours, de la levée des restrictions de contacts avec Taiwan de la Chine, à la réinscription de Cuba en tant qu’ « État soutenant le terrorisme », jusqu’ au renforcement des sanctions déjà sévères contre l’Iran, Pompeo a mené une série d’opérations intenses.

En plus, il a considéré les réseaux sociaux comme son dernier podium de défilé. Pendant trois jours consécutifs, il a publié plus de 60 tweets, vantant les résultats obtenus durant le mandat de son administration. En même temps, il s’en est violemment pris au parti au pouvoir chinois et aux différentes politiques chinoises. Son hystérie était hors de portée.

À qui voudrait-il montrer ses spectacles ? Ce n’est pas difficile à deviner. De nombreux médias américains estiment que Pompeo essayait de freiner le prochain gouvernement américain à travers une guerre éclair.

Le « New York Times » a décrit Pompeo comme quelqu’un qui est en train de brûler tous les ponts en causant d’innombrables dégâts.

Selon « Foreign Policy », sa façon d’agir est décrite en coulisse par des officiers américains comme « la diplomatie de liquidation ».

Tout cela oriente évidemment vers un objectif ultime. Selon le « Washington Post », tout en dressant des obstacles au prochain gouvernement, Pompeo a accumulé un « héritage politique » pour sa candidature à la prochaine présidentielle américaine de 2024.

Lorsque le chef de la diplomatie d'une superpuissance mondiale place ses ambitions politiques personnelles au-dessus des intérêts nationaux, sa politique étrangère est, sans aucun doute, un danger énorme pour le monde entier.

Au cours des trois dernières années à la tête de la diplomatie américaine, Pompeo n’a fait qu’inciter à la haine et à la scission partout où il est passé. Avec d'autres «incendiaires politiques» à Washington, il a organisé des farces politiques l’une après l’autre, au sein de la communauté internationale. Ainsi, les États-Unis se sont affaiblis et ridiculisés.

« La cloche a sonné la fin de la partie ». Peu importe le niveau de folie de Pompeo, l’homme est en train de livrer son dernier combat perdu d'avance. Il s’est vanté que l’histoire se souviendra des « réalisations » qu’il a faites pendant son mandat. Bien au contraire, l’histoire se souviendra de tous ses actes qui ont porté atteinte aux intérêts du monde, et ce, au profit de ses intérêts égoïstes.

Au revoir ! Plus jamais, le pire secrétaire d’État de l’histoire américaine.

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