Jouer la « carte du Tibet », une tentative vouée à l’échec des politiciens américains

Alors que le compte à rebours est déclenché pour la fin du mandat de l’administration américaine actuelle, certains politiciens américains ont intensifié leurs manœuvres visant à contenir la Chine.

Dernier scénario : faire un grand tapage autour de la question du Tibet. Un épisode marqué par la signature du soi-disant « Projet de loi 2020 sur la politique et le soutien à l’égard du Tibet ». Certains politiciens américains ont utilisé les droits de l’Homme et la religion comme prétextes pour discréditer le développement social du Tibet, calomnier les politiques ethniques et religieuses de la Chine et s’ingérer dans l’ordre normal de la réincarnation des Bouddhas vivants du bouddhisme tibétain. Leur but est d’encourager les forces sécessionnistes prônant « l’indépendance du Tibet » et de saper la prospérité et la stabilité du Tibet. Le monde peut discerner clairement leurs sinistres intentions.

Tous ceux qui connaissent l’histoire du Tibet, savent bien que la question du Tibet n’a rien à avoir avec l’ethnie, la religion ou les droits de l’Homme, mais est un problème de principe majeur touchant à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Chine. Le soi-disant projet de loi relatif au Tibet, fabriqué par certains Américains, constitue une ingérence dans les affaires intérieures de la Chine et une grave violation du droit international et des normes fondamentales régissant les relations internationales. Ce document n’est qu’une feuille de papier bonne à jeter.

Certains politiciens américains s’obstinaient à faire des commentaires irresponsables sur la question du Tibet. Ils ont brouillé les cartes sur la question de la réincarnation des Bouddhas vivants du bouddhisme tibétain, en qualifiant calomnieusement la gestion par le gouvernement chinois des affaires relatives à la réincarnation des Bouddhas vivants conformément à la loi d’« une violation à la liberté religieuse ». Étant donné cela, des éclaircissements sont nécessaires.

En Chine, après des siècles d’évolution, le système de réincarnation des Bouddhas vivants dispose d’un ensemble de rituels religieux et règles historiques rigoureuses. Par exemple, la réincarnation des Bouddhas vivants influents doit être identifiée par le tirage au sort dans l’urne d’or et leur succession doit être soumise à l’approbation du gouvernement central. Le 14ème Dalaï Lama a également été choisi de cette façon.

Comme les analystes l’ont souligné, les affaires relatives à la réincarnation des Bouddhas vivants reflètent à la fois la souveraineté nationale, l’autorité gouvernementale, les principes religieux et les sentiments des croyants de la Chine. Les politiciens américains ont tenu des propos déplacés sur la question de la réincarnation des Bouddhas vivants, ce qui a manifestement violé les règles historiques, sapé les rituels religieux et blessé les sentiments des croyants. Naturellement, ils ont suscité une ferme opposition de tous les Chinois, y compris des Tibétains.

En fait, les tentatives d’ingérence des États-Unis dans les affaires du Tibet ne datent pas d’hier. Dans les années 1950 et 1960, la CIA avait assisté le 14ème Dalaï Lama dans sa fuite. Certains politiciens américains avaient financé la clique du Dalaï Lama depuis lors. Ces dernières années, certains politiciens américains ont monté les soi-disant projets de loi relatifs au Tibet. Les États-Unis se sont ingérés ouvertement et en cachette dans les affaires du Tibet. Et ce, dans le but de faire du Tibet un atout pour contenir la Chine.

Cependant, le courant historique est irrésistible. Depuis la mise en œuvre des réformes démocratiques au Tibet en 1959, des millions de serfs sont devenus maîtres de leur destin. Ils participent à la gestion des affaires de l’État sur un pied d’égalité et gèrent de manière autonome les affaires de leur ethnie et de leur région. Nous aimerions demander qui veut retourner dans un passé où les gens avaient été privés de liberté et maltraités.

À l’heure actuelle, grâce au soutien énergique du gouvernement central, le développement du Tibet est meilleur que jamais. Le PIB de la région autonome a enregistré une croissance à deux chiffres pendant plus de 20 années consécutives. La population est passée de 1,228 million en 1959 à 3,4382 millions en 2018. La population tibétaine représente plus de 90% de la population totale de la région. L’espérance de vie moyenne est de 70,6 ans. En 2020, avec tous ses districts défavorisés débarrassés de la pauvreté, le Tibet a éradiqué la pauvreté absolue. De toute évidence, la prospérité et la stabilité du Tibet ne laisseront aucune place aux forces sécessionnistes cherchant à semer le trouble.

Les personnalités clairvoyantes de la communauté internationale n’ont pas fermé les yeux sur ces progrès. Chris D. Nebe, réalisateur du documentaire hollywoodien « Tibet-The Truth », a déclaré qu’au Tibet, non seulement le niveau de l’économie, le bien-être de la population, les infrastructures et l’éducation se sont considérablement améliorés, mais les activités culturelles et religieuses sont également protégées et respectées.

Les faits sont évidents, mais certaines personnes se refusent à les voir. Le soi-disant projet de loi relatif au Tibet ne fera que mettre à nu l’arrogance et l’ignorance des politiciens américains. Ce qu’ils ont fait allait à l’encontre des faits historiques et de la volonté des gens sur le Toit du monde. Avec leurs tentatives vouées à l’échec, ils finiront par s’attirer la honte et être la risée de tous.