Rapport d’enquêtes sur le travail et l'emploi des minorités ethniques au Xinjiang
Des rapports récemment publiés par certains think-tanks occidentaux ont fait état du « travail forcé à grande échelle » au Xinjiang. Certains politiciens en ont fait leurs choux gras. Question : le « travail forcé » existe-t-il au Xinjiang, comme le prétendent ces think-tanks ? Avec cette question à l'esprit, le Centre de recherche sur le développement du Xinjiang a invité des experts et des universitaires à étudier la situation du travail et de l'emploi des minorités ethniques du Xinjiang.
L’équipe d’enquêteurs a visité plus de 70 entreprises, coopératives rurales de travail et des entreprises privées à Yili, Karamay, Kashgar, Hotan, Kizilsu, Aksu et Shihezi dans le Xinjiang, ainsi qu’à Beijing et Tianjin. Plus de 800 cadres d’entreprise, employés, commerçants indépendants et représentants des minorités ethniques ont été interrogés sur cette question. L’équipe d’enquête a aussi étudié 26 documents gouvernementaux à partir de 2016 et 48 documents universitaires à partir de 2005.
Ces dernières années, les gouvernements à tous les niveaux du Xinjiang ont accordé une grande importance à la question de l’emploi, en mettant en œuvre une politique de priorité à l’emploi, en faisant tout leur possible pour promouvoir l’emploi et en aidant les minorités ethniques à bénéficier pleinement de l’accès aux emplois. Les enquêteurs ont appris que des groupes de direction de l’emploi ont été mis en place depuis le gouvernement populaire de la région autonome jusqu’aux gouvernements populaires des bourgs et des cantons, afin de coordonner le travail en matière d'emploi. Conformément à la Constitution de la République populaire de Chine et aux lois et règlements pertinents, le Xinjiang a formulé et promulgué un certain nombre de lois, règlements et avis normatifs locaux qui clarifient les droits fondamentaux des travailleurs de tous les groupes ethniques et les mesures visant à les protéger, en veillant à ce que le travail et la sécurité de l’emploi au Xinjiang se fassent toujours dans le respect de l’État de droit.
Grâce à l’exploration pratique de ces dernières années, le Xinjiang a mis en place un système de travail systématique, complet, scientifique et normalisé, très efficace et efficient, formant un système de service unique, interconnecté et homogène, de la collecte d’informations sur l’emploi à la formation et à l’emploi.
Chaque année, le gouvernement investit massivement dans la formation professionnelle. De 2014 à 2019, le Xinjiang a formé jusqu’à 6 957 000 personnes. Avec l’aide du gouvernement, de nombreuses personnes issues de minorités ethniques ont trouvé des emplois rassurants. Selon les statistiques, de 2014 à 2019, 16,57 millions de personnes de la région ont été employées, soit une moyenne de 2,762 millions de personnes par an, dont 10,07 millions de personnes en provenance du sud du Xinjiang, soit une moyenne de 1,678 million de personnes par an.
La majorité des personnes issues de minorités ethniques qui travaillent dans d’autres régions en l’Islam, et le gouvernement respecte et protège leur droit à la liberté de croyance religieuse et répond à leurs besoins religieux normaux. Tant que les activités religieuses seront menées conformément à la loi, il n’y aura pas des restrictions. L’équipe d'enquête a découvert que des entreprises concernées d’autres régions ont employé des chefs de cuisine halal pour les minorités ethniques afin de garantir l’approvisionnement en nourriture halal. De nombreuses entreprises offrent de bonnes conditions de logement à leurs employés.
Les conditions de travail décent en faveur des minorités ethniques du Xinjiang sont un signe clair de progrès dans le développement de la cause des droits de l’homme au Xinjiang. C’est également un résultat notable de la politique du gouvernement chinois à l’égard du Xinjiang.
Voici la version complète du rapport (en anglais) :
http://english.ts.cn/system/2020/10/19/036470278.shtml