Commentaire : les politiciens américains qui produisent les mensonges sur le Xinjiang sont les plus gros violateurs des droits de l’homme

RCI 2020-07-17 22:12:25
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Des politiciens américains hostiles à la Chine, représentés par le secrétaire d’Etat Mike Pompeo, le conseiller à la sécurité nationale Robert C. O'Brien, ont calomnié récemment, sans cesse, la politique chinoise sur le Xinjiang, en semant des rumeurs liées à « la détention massive de la population locale », aux « travaux forcés », au « contrôle de la population », entre autres. Le problème, c’est qu’au lieu de présenter des preuves solides pour soutenir leurs propos, ils ont été dénoncé successivement de produire des mensonges et de fausses preuves sur cette question.

L’ambassade des Etats-Unis en Chine avait twitté ces derniers jours une nouvelle, disant que le gouvernement chinois violait les droits de l’homme au Xinjiang, en accompagnement d’une photo, selon laquelle les marchandises chinoises ont été fabriquées par « des travailleurs-esclaves chinois ». Mais il s’agit, dans cette twitte, d’une histoire embarrassée : cette photo a été identifiée « photoshoped » par les internautes.

De plus, d’après le site web américain d’investigation journaliste indépendante « The Greyzone », le mensonge sur « les travaux forcés des Ouïgours », sans aucune preuve, avait été produit par des forces antichinoises américaines et australiennes. Quant au mensonge, selon lequel, « presqu’un million des Ouïgours sont détenus », il s’agit d’une conclusion tirée par Chinese Human Rights Defenders (CHRD), une organisation non-gouvernementale sponsorisée par le gouvernement américain, basée sur leurs soi-disant enquêtes de 8 exemplaires.

La calomnie de Robert C.O'Brien sur le contrôle par le gouvernement central chinois de la population des Ouïgours au Xinjiang, quant à elle, n’est qu’une question n’ayant pas de sens. La population des Ouïgours au Xinjiang est passée de 5,55 à 11,68 millions pendant ces 4 décennies. D’où vient cette idée de contrôle ?

En fait, la politique chinoise sur le Xinjiang, en dépit des calomnies semées par certains politiciens américains, constitue exactement une garantie des droits de l’homme dans la région. Grâce aux politiques anti-terroristes et de la déradicalisation, aucun incident terroriste n’a été signalé au Xinjiang pendant trois années consécutives. Le droit à la vie de la population a été efficacement garanti. En même temps, le gouvernement du Xinjiang assure au maximum le droit à l’emploi des populations multiethniques locales. Depuis 2018, 151 mille mains-d’œuvre excédentaires du Xinjiang du Sud ont été réinstallés, et ont réalisé une revenue annuelle moyenne de plus de 45 mille yuans, dépassant de loin le seuil de la pauvreté. Dans un film documentaire intitulé « Tianshan : toujours debout - Mémoires du combat contre le terrorisme au Xinjiang », récemment diffusé dans la chaîne de télévision CGTN de China Media Group, ont été exposés la douleur de la population locale causée par le terrorisme et la vie harmonieuse et en bon ordre grâce à la politique appliqué par le gouvernement central dans le Xinjiang.

Par contre, la question des droits de l’homme devient une blague aux Etats-Unis. Le soi-disant « défenseur des droits de l’homme » est en effet le plus grand violateur des droits de l’homme du monde. Pendant les 244 ans après la fondation des Etats-Unis, durant seulement 16 ans, il n’y avait pas de guerre dans ce pays. Durant les 20 ans passés, les Etats-Unis ont déclenché les guerres illégitimes contre l’Irak, la Lybie, la Syrie, l’Afghanistan, et autres pays, ce qui a causé de sérieuses crises humanitaires. Dans le pays, l’inaction de l’administration américaine dans la prévention et le contrôle de la pandémie de COVID-19 a aggravé les problèmes persistants en matière des droits de l’homme liés à la fracture sociale, la discrimination raciste, l’injustice sociale, entre autres.

Lors de la 44ème session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, tenue ces derniers jours en Suisse, 46 pays membres ont apprécié, dans une déclaration conjointe, le développement de la cause des droits de l’homme au Xinjiang, et ont critiqué la provocation des Etats-Unis contre la Chine recourant à la question des droits de l’homme. La justice se trouve dans le cœur de chacun.

Si Pompeo et Robert C. O'Brien veulent sincèrement connaître le développement du Xinjiang, ils devaient prêter l’oreille au consensus de la communauté internationale. Il leur faudrait visiter le Xinjiang en personne, s’ils étaient francs et ouverts.

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