Commentaire : les mensonges de Pompeo sur Xinjiang, discréditent sa propre personne

RCI 2020-07-06 21:58:35
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Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a récemment accusé la Chine d’avoir imposé le travail forcé et ordonné la détention massive au Xinjiang. Il a dénigré les mesures préventives chinoises prises dans le cadre de la lutter contre le terrorisme et l’extrémisme. Cette manière de s’ingérer dans les affaires intérieures de la Chine révèle le dessein noir de Pompeo, consistant à saboter la prospérité et la stabilité de Xinjiang, ainsi qu’à empêcher le développement de la Chine.

Il s’est dégagé un consensus au niveau de la communauté internationale, admettant que la question du Xinjiang s’inscrivait dans les efforts engagés par le gouvernement central chinois pour lutter contre le terrorisme et les velléités sécessionnistes. Ce consensus souligne, par ailleurs, que la situation dans le Xinjiang n’a rien à voir avec les questions des droits de l’homme, ethniques ou religieuses comme tentent le dire certains responsables politiques américains. Pour éliminer le terrorisme, le sécessionnisme et l’extrémisme, le gouvernement chinois s’est concentré sur des efforts visant à améliorer l’éducation et à créer des emplois. C’est le cas du Centre de formation professionnelle, curieusement calomnié par Pompeo qui le considère comme un « camp de concentration ». Ce centre est en réalité une école de formation qui aide à sortir des étudiant des idéologies extrémistes, tout en leur apprenant des métiers pratiques, capables faciliter leur réinsertion dans la vie sociale et trouver de quoi subvenir à leurs besoins fondamentaux.  Conformément aux résolutions anti-terroristes telles que la « Stratégie des Nations Unies pour lutter contre le terrorisme dans le monde », le Centre de formation professionnelle est identique à la « rectification communautaire » appliquée aux Etats-Unis, dans le projet DDP installé au Royaume Uni et au centre d’éradication de l’extrémisme créé en France.

Les faits prouvent que l’assistance à l’emploi auprès des ethnies minoritaires constitue une mesure énergétique pour réaliser la stabilité, la prospérité et la solidarité interethnique au Xinjiang. En réponses aux besoins de l’emploi exprimés par des habitants locaux, le gouvernement de la Région autonome ouïgoure du Xinjiang a pris des mesures positives afin de garantir au maximum leurs droits à l’emploi. En effet, depuis 2018, près de 150 100 personnes au sud du Xinjiang ont pu trouver un emploi, sortant ainsi du cycle de la pauvreté. Les faits sont éloquents : la population du Xinjiang a la liberté de choisir le type de travail qu’elle aimerait faire. Aucune restriction de liberté individuelle va contre cette population.

Lors de la 44e session du Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies, 46 pays ont réitéré leur soutien à la politique mise en place par la Chine dans le cadre de la gouvernance du Xinjiang. Plus de 1 000 personnes, venues de 91 pays, ont été invitées à visiter la région du Xinjiang. Pour eux, les expériences de la Chine en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme devraient servir d’exemple à d’autres pays confrontés aux mêmes problèmes. 

Pompeo refuse de voir la vérité en face de lui et persiste dans la farce politique. D’un côté, ils font semblant de « prendre soin » de l’état de vivre des ethnies minoritaires du Xinjiang, et d’autre côté, ils multiplient des mesures pour réprimer les entreprises et l’emploi au Xinjiang. Cette action contradictoire montre que M. Pompeo, qui prône « la démocratie » et « les droits de l’homme », est insensible au bonheur et au bien-être des ethnies minoritaires au Xinjiang. Son intention est de semer des troubles dans cette région, créer des ennuis à la Chine et chercher finalement des intérêts politiques égoïstes en sa faveur.

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