Commentaire: La soi-disant question des "droits de l'homme" au Xinjiang est un mensonge politique

RCI 2020-03-13 22:28:20
Share
Share this with Close
Messenger Messenger Pinterest LinkedIn WeChat

Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a suspendu le 13 mars les travaux de sa 43ème session en raison de l’épidémie de COVID-19. Cependant, la cessation de cette réunion n’a pas calmé les attaques, sous prétexte de soi-disant questions des «droits de l’homme» au Xinjiang, dont la Chine est victime de la part de certains pays.

Le soi-disant "Rapport 2019 sur la situation des droits de l'homme dans le monde", récemment publié par les Etats-Unis, a une fois de plus attaqué la situation des droits de l'homme en Chine et les politiques du Xinjiang. Ce document accuse la Chine d’«emprisonner» des Ouïghours dans ce que les Etats-Unis appellent abusivement "camps de détention".

En juillet 2019, 51 pays, dont 28 Etats membres de l'Organisation de la Coopération islamique, ont conjointement envoyé une lettre au président du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies et à la Haute-Commissaire aux droits de l'homme pour exprimer leur appréciation à la politique antiterroriste de la Chine au Xinjiang, et à la sollicitude chinoise à l’égard des musulmans.

En décembre 2019, une enquête menée par le site web indépendant américain "The Grayzone" a révélé qu'une organisation appelée "Network of Chinese Human Rights Defenders" n'avait utilisé que huit entretiens avec des Ouïghours comme échantillon pour aboutir à une conclusion de la honte, disant qu’entre 1 et 2 millions des Ouïghours étaient "détenus" par le gouvernement chinois. Cependant, certains médias et politiciens occidentaux ont fermé les yeux sur cela et ont continué à utiliser des données qui n’étaient pas solidement fondés pour attaquer la Chine. Une complicité incroyable.

Mais les faits sont tellement têtus et ont pleinement prouvé que les questions liées au Xinjiang ne concernent pas du tout la situation des droits de l'homme, la religion, ni l’appartenance ethnique, mais plutôt les mesures antiterroristes et antisécessionnistes. CGTN, filiale de Chine Media Group, a diffusé deux documentaires en langue anglaise, en décembre 2019, qui ont provoqué de vives réactions à l’étranger.

En effet, la plupart de pays qui attaquent la politique de la Chine au Xinjiang, ne connaissent peut-être pas la vérité. Alors que d’autres ne sont pas disposés à reconnaître la vérité et ils utilisent les droits de l'homme comme un outil politique pour discréditer la Chine. Il est ridicule que de nombreux pays attaquent les politiques chinoises sous prétexte des soi-disant droits de l'homme, alors qu’ils avaient eux-mêmes un lourd passé en matière de droits de l'homme.

Afin d’éclairer la communauté internationale sur le développement du Xinjiang, plus de mille diplomates, des représentants d'organisations internationales, des journalistes et des chefs religieux de tous les pays, en visite au Xinjiang, ont été reçu par le gouvernement chinois. Ils ont tous dit que ce qu'ils avaient vu et entendu au Xinjiang était complètement différent de ce que certains médias occidentaux décrivaient.

Selon des programmes, la Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Michelle Bachelet se rendra au Xinjiang cette année. C'est une bonne occasion pour les étrangers de comprendre le Xinjiang. Nous espérons que Mme Bachelet va suffisamment visiter Xinjiang, afin de mesurer la véritable température du développement économique et social, et de l’évolution de la situation des droits de l'homme dans cette région. Ainsi, Mme Bachelet aura l’occasion de présenter au monde le vrai visage du Xinjiang, pas le visage tronqué comme aiment bien présenter certains médias occidentaux.

Partager

Articles les plus lus