Commentaire : Suivre les évaluations d’experts de l’OMS pour juger des efforts de la Chine dans la lutte contre l’épidémie

« La méthode de la Chine est la seule actuellement dont les faits prouvent la réussite ». C’est ce qu’a déclaré, le 24 février, Bruce Aylward, conseiller supérieur du Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), visiblement impressionné par les efforts de la Chine.

Le même jour, un équipe conjointe d’experts Chine-OMS sur le COVID-19 a tenu une conférence de presse à Beijing. Lors de l’échange avec la presse, l’équipe a reconnu l’efficacité des mesures sans précédent prises par la Chine en matière de santé publique. Et cette équipe conjointe a logiquement affirmé que ces mesures ont donné des résultats significatifs dans l’atténuation de la propagation de l’épidémie et l’endiguement de la transmission interhumaine du virus. Elles ont évité ou du moins retardé des centaines de milliers de cas d’infection, ont encore ajouté les experts, avant de suggérer à d’autres pays de réévaluer rapidement les mesures prises à l’égard de la Chine.

Ces évaluations objectives et justes découlent d’enquêtes approfondies sur les lignes de front de prévention et de lutte contre l’épidémie. En l’espace de 9 jours, une équipe d’experts de l’OMS composée de 12 personnalités internationales, accompagnée des experts chinois, a effectué des enquêtes sur le terrain à Beijing ainsi que dans les provinces du Guangdong, du Sichuan et du Hubei.

Pour juger des efforts de la Chine dans la lutte contre l’épidémie, les conclusions tirées sur la base des enquêtes sur le terrain sont évidemment crédibles et font foi.

Les dernières statistiques montrent qu’en date du 24 février, le nombre de nouveaux cas confirmés dans la partie continentale de la Chine, à l’exception du Hubei, est inférieur à 10. Plusieurs provinces chinoises ont abaissé le niveau d’alerte pour les urgences de santé publique.　

En effet, la Chine a obtenu des résultats remarquables en matière de prévention et de contrôle de l’épidémie en l’espace de plus d’un mois, ce qui, pour la communauté internationale, a fourni un échantillon pour analyser des questions liées aux systèmes sociaux et à l’efficacité de la gouvernance.

L’écrivain politique américain Sara Flounders a récemment écrit que les mesures prises par la Chine pour lutter contre le nouveau coronavirus sont inédites dans les pays capitalistes. La nature fondamentale du socialisme chinois détermine qu’en cas de crise ou d’urgence, le bien-être du peuple prime sur toute idée capitaliste.

Aux Etats-Unis, Robert Lawrance Kuhn, président de la Fondation portant son nom, estime que la capacité de mobilisation du gouvernement chinois est sans précédent dans l’histoire de la santé mondiale et qu’il sera difficile pour d’autres pays de faire pareille chose. La Chine a réussi à endiguer la propagation de l’épidémie en temps opportun, ce qui est essentiellement attribuable à la direction centralisée et unifiée du Parti communiste chinois (PCC).

Il est à noter que le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a annoncé le 24 février que l’épidémie avait atteint son pic en Chine et n’était pas encore au stade d’une pandémie. Johan Neyts, président de la Société internationale pour la recherche antivirale et professeur de virologie à l’Université de Louvain, a souligné qu’une série de mesures décisives prises par la Chine avaient fait gagner un temps précieux permettant à la communauté internationale de relever efficacement ce défi.

Comme l’a rappelé Bruce Aylward, le monde a besoin de l’expérience de la Chine pour faire face à cette épidémie. A l’heure actuelle, certaines mesures qui se sont révélées efficaces en Chine servent d’exemples à d’autres pays également touchés par l’épidémie. C’est le cas de l’Italie dont le gouvernement a annoncé avoir adopté des mesures de gestion fermée dans 11 communes.

En tant que pays hautement responsable de ses devoirs vis-à-vis de la santé publique mondiale, la Chine continuera de mettre en valeur les avantages de son système pour lutter contre l’épidémie, de partager son expérience en matière de prévention et de contrôle avec toutes les parties, de renforcer la coopération dans le développement de médicaments et de vaccins antiviraux et de fournir une assistance dans la limite de ses moyens.

En travaillant ensemble et en renforçant la confiance mutuelle, le monde pourra rapidement surmonter cette crise.

Comme l’a rappelé Bruce Aylward, le monde a besoin de l’expérience de la Chine pour faire face à cette épidémie. A l’heure actuelle, certaines mesures qui se sont révélées efficaces en Chine servent d’exemples à d’autres pays également touchés par l’épidémie. C’est le cas de l’Italie dont le gouvernement a annoncé avoir adopté des mesures de gestion fermée dans 11 communes.

En tant que pays hautement responsable de ses devoirs vis-à-vis de la santé publique mondiale, la Chine continuera de mettre en valeur les avantages de son système pour lutter contre l’épidémie, de partager son expérience en matière de prévention et de contrôle avec toutes les parties, de renforcer la coopération dans le développement de médicaments et de vaccins antiviraux et de fournir une assistance dans la limite de ses moyens.

En travaillant ensemble et en renforçant la confiance, le monde peut rapidement surmonter cette crise.