Le « New York Times » sort une nouvelle fiction diffamatoire sur le Xinjiang

RCI 2020-01-03 22:06:20
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Le «New York Times» a récemment publié un autre article sur le gouvernement local du Xinjiang, affirmant que celui-ci "force" les habitants des minorités ethniques notamment les Ouïgours à travailler, pour la soi-disant "transformation professionnelle". Cette accusation, dépourvue de bon sens et ignorant les faits de base, constitue une déformation délibérée du travail normal que font les autorités locales en matière de lutte contre la pauvreté et la promotion de l’emploi. Cet article de «New York Times» ressemble plus à une fiction qu’à un véritable article de presse.

En effet, le développement de l’économie, la promotion de l’emploi et l’élimination de la pauvreté sont des mesures importantes prises par les autorités chinoises pour éradiquer le terrorisme et restaurer la stabilité sociale. Toutes ces mesures font l’objet d’un consensus général au niveau de la communauté internationale.

Au cours des cinq dernières années, 231.470.000 personnes ont été sorties de la pauvreté absolue au Xinjiang, et l’incidence de la pauvreté est tombée de 22,84% au début de 2014 à 6,51%. Si l’on prend l’exemple du Kashgar, le taux de chômage enregistré dans les villes et bourgs est tombé à 2,4 % en 2018.

Le «New York Times» ne fait cependant pas la moindre allusion à l’amélioration des conditions de vie au Xinjiang, mais plutôt déforme la hausse du taux d’emploi du Xinjiang en la décrivant comme une "catastrophe" pour les minorités ethniques qui sont "forcées" par le gouvernement à trouver un emploi.

Il semble que ce qu’il souhaite, c’est une stagnation du développement au Xinjiang, avec tous les groupes ethniques plongés dans la pauvreté. C’est une déformation psychologique sombre de la part de ce journal américain.

En ce qui concerne le soi-disant "problème du travail forcé", le «New York Times» n’a interrogé aucun fonctionnaire du gouvernement local du Xinjiang, et les données citées dans l’article ne sont pas vérifiables.

Une autre absurdité de cet article, c’est lier le soi-disant "programme pour le travail" au centre de formation et d’enseignement professionnels du Xinjiang, prétendant à tort que "beaucoup de gens sont envoyés pour travailler dans les usines après leur formation". Mais voici la vérité: ledit centre a été créé pour combiner la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme avec l’amélioration des conditions de vie de la population. Les cours sont également adaptés aux besoins des industries locales, y compris l’industrie du vêtement, de la chaussure et du chapeau, la transformation alimentaire, l’assemblage de produits électroniques et le commerce électronique.

Récemment, les journalistes de CMG « China Media Group » se sont rendus au Xinjiang pour mener une enquête sur le terrain, et ont constaté que les élèves, après avoir terminé les cours concernés, sont presque toujours capables de s’intégrer dans la société en cherchant un emploi ou en créant leurs propres entreprises, et changer ainsi leur statut personnel et familial. Par exemple, une jeune fille de 26 ans, Rukiya Yakup, a déclaré aux journalistes qu’elle travaillait dans la vente de biens immobiliers après avoir terminé ses études et qu’elle gagnait plus de 8000 RMB par mois, un revenu très satisfaisant pour ceux qui travaillent dans cette région.

Les faits prouvent pleinement que la réduction de la pauvreté, grâce à l’emploi, a amélioré les conditions de vie du peuple du Xinjiang, endigué efficacement la pénétration des idées extrémistes et préservé la prospérité et la stabilité du Xinjiang.


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