Commentaire : mensonges de mauvais goût, intentions sinistres

2019-12-25 18:18:17
Share
Share this with Close
Messenger Messenger Pinterest LinkedIn WeChat

Peter Humphrey, ancien journaliste britannique qui a été incarcéré en Chine, a récemment publié un article dans le «Sunday Times» avec un sérieux affecté. Son article parle d’une fillette de 6 ans, à Londres, qui aurait trouvé sur une carte de Noël achetée chez Tesco, le plus grand détaillant britannique, un message en anglais: «Nous sommes des prisonniers étrangers dans la prison de Qingpu à Shanghai. Nous sommes forcés à travailler. S’il vous plaît, aidez-nous et informez les organisations des droits de l’Homme.» Par la suite, quelques médias occidentaux, dont la BBC et la chaîne d’information Sky News, ont fait grand tapage à ce sujet, profitant de l’occasion pour attaquer et discréditer la Chine.

Cependant, lors d’une interview exclusive accordée à CGTN de China Media Group (CMG), la Société d’imprimerie Yunguang du Zhejiang, fournisseur chinois du supermarché Tesco, a confirmé qu’elle n’avait jamais établi de relation commerciale avec la prison de Qingpu. «Toutes nos cartes de Noël livrés au supermarché Tesco sont produites par les Chinois. Nous nous occupons nous-mêmes de tout le processus, de l’impression à l’emballage en passant par l’exportation », a martelé l’imprimeur chinois. Dans le même temps, le supermarché Tesco a répondu par écrit à une demande du journaliste de CMG. «Aucun élément de preuve n’indique qu’un quelconque fournisseur a enfreint la réglementation interdisant le travail pénitentiaire», peut-on lire dans sa réponse. Le Ministère chinois des Affaires étrangères y a également répondu: il n’y a pas de travail forcé de prisonniers étrangers dans la prison de Qingpu à Shanghai.

À ce stade, la vérité a éclaté à grand jour. Les accusations de Peter Humphrey étaient complètement fausses. Montées de toutes pièces, elles n’ont aucun fondement factuel. En fait, ceux, qui ont un peu de bon sens, ne croiraient pas les propos insensés de Peter Humphrey, car il a commis de nombreux méfaits. Selon le portail du Ministère chinois de la Sécurité publique, depuis 2003, Peter Humphrey et son épouse ont illégalement obtenu une grande quantité d’informations personnelles de citoyens chinois par le biais de la collecte, d’achat et d’autres moyens, et les ont vendus pour retirer des avantages illégaux. Arrêté par la police chinoise en 2013 puis condamné, Peter Humphrey a été, pendant neuf mois, incarcéré dans la prison de Qingpu. Il a été libéré en 2015. Depuis lors, l’homme apparaissait, de temps en temps, sous les projecteurs pour attaquer et discréditer la Chine, comme s’il avait peur de se faire oublier. De toute évidence, il cherchait également à obtenir des intérêts égoïstes. Il est déjà tristement connu.

Pour cette raison, de nombreux internautes étrangers se moquent de ce mauvais «spectacle» de Peter Humphrey. Quelques exemples: « Y a-t-il de nombreux Britanniques ayant été détenus à la prison de Qingpu à Shanghai ? Le message sur cette carte a-t-il été écrit par le détective privé britannique Peter Humphrey qui avait purgé une peine de prison à Shanghai? »S’est ironiquement interrogé un internaute. «De nos jours, certains Occidentaux se montrent vraiment hystériques à propos de la Chine. C’est trop ignoble d’essayer tous les moyens pour calomnier et discréditer la Chine », a, pour sa part, commenté un autre internaute.

Le script utilisé par Peter Humphrey pour discréditer la Chine est tellement maladroit au point que les internautes, mêmes les plus ordinaires, n’auront pas d’efforts à fournir pour déceler ce mensonge grossier. On se demande pourquoi les médias britanniques font le Jacques, publient de telles fausses informations jusqu’à faire un grand battage médiatique autour de ce sujet ? Tout ceci prouve que certains médias occidentaux sont tellement malintentionnés à l’égard de la Chine, en allant jusqu’à tout faire pour discréditer la Chine au mépris de leur éthique professionnelle et des faits de base.

En octobre dernier, CNN, sans se donner le temps de vérifier les faits, a prétendu que les 39 corps trouvés dans un camion frigorifique dans un parc industriel près de Londres, au Royaume-Uni, étaient des «ressortissants chinois». Un mois après, en novembre dernier, c’était au tour de «New York Times» d’affirmer qu’il possédait un grand nombre de «documents internes» et de calomnier la lutte contre le terrorisme et la radicalisation dans le Xinjiang, en Chine. Tout récemment, le «Sunday Times» a concocté une farce destinée à discréditer la Chine, de connivence avec une personne ayant purgé une peine en Chine. Ces médias occidentaux ont cherché à dénigrer la Chine de toutes leurs forces, mais ont fini par se faire rattraper par les faits. Dans le même temps, ils ont fait la sourde oreille à deux documentaires sur la lutte contre le terrorisme dans le Xinjiang, diffusés récemment sur CGTN. Ce qui révèle leur pratique hideuse de «deux poids, deux mesures». Est-ce possible que diffuser des rumeurs calomnieuses et semer la confusion soient les principes à suivre par certains médias occidentaux pour faire des reportages ? Est-ce que la soi-disant «liberté de la presse» en Occident consiste-t-elle à fabriquer hystériquement divers mauvais mensonges qui discréditent la Chine ?

Partager

Articles les plus lus