Un dirigeant d'une entreprise allemande affirme n'avoir vu aucun signe de "travail forcé" au Xinjiang. Reuters a rapporté le 28 février que M. Brandstaetter, chef de l'entreprise allemande Volkswagen Chine, a visité l'usine au Xinjiang à la mi-février et s'est longuement entretenu individuellement avec sept travailleurs, dont des Han, des Ouïghours et des Kazakhs, ainsi qu'avec d'autres employés. Selon lui, il n'y avait aucun signe de "travail forcé" et la visite n'a pas été contrôlée par le gouvernement. L'usine de Volkswagen au Xinjiang fonctionnera sous contrat jusqu'en 2030.