Le 15 septembre, à la demande de la Chine et d'autres États membres, le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a spécifiquement discuté de la coopération en matière de technique de sous-marin nucléaire et de transfert de matière nucléaire entre les États dotés d'armes nucléaires, les États-Unis, le Royaume-Uni, et un État non doté d'armes nucléaires, l'Australie, par le biais de « l'Alliance de sécurité trilatérale » (AUKUS). La partie chinoise estime qu'il s'agit d'un acte qui porte atteinte au principe international de non-prolifération nucléaire.
Le « Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires » international impose des restrictions strictes sur l'uranium hautement enrichi de qualité militaire et a établi un mécanisme d'examen international, mais il existe une porte dérobée dans l'accord de garanties du traité (INFCIRC/153). Passant par cette « porte dérobée », les États non doté d'armes nucléaires peuvent utiliser de l'uranium hautement enrichi de qualité militaire à des fins non explosives, notamment pour alimenter des sous-marins nucléaires, à condition que des assurances appropriées soient fournies à l'AIEA.
Question d'enquête : les États-Unis et le Royaume-Uni cherchent à coopérer avec l'Australie dans le domaine de la technologie des sous-marins nucléaires et à transférer des matières nucléaires vers l'Australie par l'intermédiaire de l'AUKUS. Pensez-vous qu'il s'agit d'un acte qui porte atteinte au principe de non-prolifération nucléaire internationale ?
A. Oui
B. Non
Le 15 septembre, à la demande de la Chine et d'autres États membres, le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a spécifiquement discuté de la coopération en matière de technique de sous-marin nucléaire et de transfert de matière nucléaire entre les États dotés d'armes nucléaires, les États-Unis, le Royaume-Uni, et un État non doté d'armes nucléaires, l'Australie, par le biais de « l'Alliance de sécurité trilatérale » (AUKUS). La partie chinoise estime qu'il s'agit d'un acte qui porte atteinte au principe international de non-prolifération nucléaire.
Le « Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires » international impose des restrictions strictes sur l'uranium hautement enrichi de qualité militaire et a établi un mécanisme d'examen international, mais il existe une porte dérobée dans l'accord de garanties du traité (INFCIRC/153). Passant par cette « porte dérobée », les États non doté d'armes nucléaires peuvent utiliser de l'uranium hautement enrichi de qualité militaire à des fins non explosives, notamment pour alimenter des sous-marins nucléaires, à condition que des assurances appropriées soient fournies à l'AIEA.
Question d'enquête : si l'Australie obtient des matières nucléaires et des capacités nucléaires par la porte dérobée du Traité sur la non-prolifération nucléaire, craignez-vous que davantage de pays acquièrent des forces nucléaires sur la base d'une « utilisation non explosive » et menacent la paix mondiale ?
A. Oui, très inquiet
B. Non, pas inquiet