​Commentaire : Le "faux rapport" d’Adrian Zenz a révélé le vrai visage de son maître
rci 2022-06-12 19:56:30

Pour coïncider avec l'entrée en vigueur imminente de la soi-disant loi américaine sur la prévention du travail forcé des Ouïghours, le "professionnel de la falsification" Adrian Zenz a récemment fait une nouvelle apparition, en présentant un rapport affirmant que la Chine élargissait la portée et l'ampleur du "travail forcé". Le soi-disant projet de loi est rempli de rumeurs et le soi-disant rapport est une pure invention - les États-Unis feront tout pour écarter la région du Xinjiang de la chaîne d'approvisionnement mondiale. Est-ce là ce que le secrétaire Blinken entendait par "rivalité" dans son récent discours sur la politique chinoise ?

Qu'est-ce que le "travail forcé" ? Selon la convention de l'Organisation internationale du travail sur le travail forcé, il s'agit de forcer quiconque à effectuer un travail ou un ouvrage qui n'est pas de son plein gré, sous la menace d'une quelconque sanction. Sur la base de ce critère, il n'y a pas de "travail forcé" au Xinjiang, il y a des histoires de recherche d'une vie heureuse.

En fait, une déclaration d'un ancien diplomate américain en Chine, récemment exposée dans les médias, admettait : "il n'y a pas de problème au Xinjiang, nous en sommes tous bien conscients ; mais utiliser le Xinjiang pour spéculer sur le travail forcé, le génocide et les attaques contre les droits de l'homme est un moyen efficace de 'faire sombrer complètement le gouvernement chinois dans le bourbier'. ''

Ce responsable américain a dit la vérité, mais Adrian Zenz continue de mentir les yeux grands ouverts. Cela s'explique par le fait qu'il gagne depuis longtemps sa vie en tant qu'activiste anti-Chine et qu'il ne peut pas revendiquer le mérite de ses maîtres à moins de produire de fausses informations. Depuis plus d'une décennie, ce faux universitaire allemand, de mèche avec les services de renseignement américains, induit le monde extérieur en erreur avec de faux rapports et de fausses rumeurs, et dénigre la Chine de manière alarmante. Il a également été poursuivi en justice par des entreprises et des personnes du Xinjiang pour cela.

Cette fois, Adrian Zenz répète le même tour de passe-passe en produisant son soi-disant rapport sur le "travail forcé". Mais ce rapport ne montre aucune nouvelle tendance de développement, ni ne répertorie aucune base factuelle et aucune donnée, il s'agit simplement d'une collection de mensonges dans une "nouvelle bouteille". Chaque fois que Zenz publie un faux rapport, il donne au monde une chance de voir les "faux droits de l'homme" de son maître américain.

À la fin de l'année dernière, le gouvernement américain a signé la soi-disant loi sur la prévention du travail forcé des Ouïghours, qui entrera en vigueur le 21 juin de cette année. Ce projet de loi, qui interdira l'importation de produits du Xinjiang aux États-Unis, repose sur des mensonges. Sous couvert de "droits de l'homme", il vise en fait à stopper le processus de modernisation du Xinjiang et à priver la population locale de possibilités de développement, ce qui constitue précisément une violation des droits de l'homme de la population du Xinjiang.

Et ce n'est pas tout. Avec son histoire séculaire de commerce d'esclaves, d'abus et de discrimination à l'encontre des personnes noires, s'agissant de "travail forcé", les États-Unis sont les seuls qui ont commis cet acte criminel. Aujourd'hui, selon certaines institutions universitaires américaines, au moins 500 000 personnes sont soumises à l'esclavage moderne et au travail forcé aux États-Unis. Le 12 juin sera la Journée mondiale contre le travail des enfants de l'Organisation internationale du travail, mais les États-Unis utilisent encore un grand nombre d'enfants travailleurs. Selon les statistiques, 50 % des 100 000 personnes qui font l'objet d'un trafic vers les États-Unis chaque année à des fins de travail forcé depuis l'étranger sont des enfants mineurs. C'est aux gens de décider qui est le "travailleur forcé".

Il y a deux semaines, dans un discours sur la politique chinoise à l'université George Washington, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a lancé trois mots clés : "investissement, alignement et rivalité". En comparant les expressions précédentes de "rivalité, coopération et confrontation", on constate que la seule chose qui n'a pas changé est la "rivalité". Si, pour les États-Unis, la "rivalité" consiste à s'appuyer sur la désinformation et la diffamation pour supprimer ses opposants, ainsi qu'à porter atteinte aux droits de l'homme dans d'autres pays et à l'ordre commercial international, alors ce "gros bâton" finira se diriger contre eux.

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