« Il n’y a pas de problème au Xinjiang, nous sommes bien clairs sur cela, mais l’instrumentalisation du travail forcé, du génocide et des droits de l’homme est un moyen efficace pour faire plonger le gouvernement chinois complètement au fond du bourbier », ce propos d’une ancienne diplomate américaine en Chine, rendu public récemment par des médias, dépasse une fois de plus le seuil de tolérance du monde.
On rapporte qu'en 2021, Sheila Carey, responsable au département économique et politique et Consule du consulat général des États-Unis à Guangzhou, et son collègue Andrew Chira, ont fait part à un cocktail interne de leurs machinations pour jouer la « carte du Xinjiang » afin d'obtenir la coopération et le soutien des entreprises américaines. Les membres de la Chambre de commerce présents à l'époque ont déclaré en privé que cela était insensé et qu'ils n'avaient rien à gagner à fabriquer des rumeurs sur le Xinjiang.
Désinformation et calomnie, fabrication et diffusion de matériel publicitaire... La série de manœuvres américaines sur les questions liées au Xinjiang ne connaît aucune limite. À la fin du mois dernier, les États-Unis ont organisé une nouvelle farce politique autour de la visite en Chine de Michelle Bachelet, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme. Maintenant que la visite est terminée et que Mme Bachelet a clairement déclaré qu'il avait eu des discussions et des échanges avec la population locale de tous horizons au Xinjiang, sans restrictions ni supervision, le département d'État américain a prétendu à tort que la visite de Mme Bachelet avait été restreinte et manipulée, et des appels à la démission de Michelle Bachelet sont même apparus sur les médias sociaux américains.
Aucune quantité de mensonges ne peut effacer le fait que le Xinjiang est une société stable et prospère, où les gens vivent et travaillent dans la paix et le bonheur. Prenons l'exemple du travail et de l'emploi. Selon les données publiées par le gouvernement local du Xinjiang, de janvier à mai de cette année, 263 000 nouveaux emplois ont été créés dans les villes et villages du Xinjiang, soit 57,17 % de l'objectif annuel de 460 000. Il s'agit d'un résultat obtenu de haute lutte dans le contexte actuel de pression économique négative et d'épidémie à de multiples endroits. De nombreux habitants du Xinjiang ont fait remarquer qu'ils créaient une vie meilleure grâce à leur propre travail, ont-ils encore besoin d'être forcés ? La partie américaine invente tout cela de toutes pièces, mais elle tente simplement d'étouffer l'économie du Xinjiang au niveau de la chaîne industrielle et de la chaîne d'approvisionnement, et de bloquer la modernisation de l'économie et de la société du Xinjiang.
Les accusations américaines relatives au Xinjiang sont le reflet des propres méfaits des États-Unis en matière de droits de l'homme, qu'ils ont concoctés en se servant d'eux-mêmes comme point de référence. Les nuages sombres ne peuvent pas cacher le soleil. Ces dernières années, les représentants de plusieurs pays ont vu, lors de visites sur le terrain, un Xinjiang caractérisé par l'unité nationale, la stabilité sociale et la prospérité économique. Lors d'occasions multilatérales telles que le Conseil des droits de l'homme des Nations unies, la grande majorité des pays, dont de nombreux pays musulmans, ont soutenu la politique chinoise de gestion du Xinjiang et se sont opposés à l'ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures de la Chine. De nombreux pays ont également demandé une enquête sur les méfaits des États-Unis en matière de droits de l'homme.
On peut raisonnablement se demander pourquoi les États-Unis ne sont "préoccupés" que par les musulmans du Xinjiang alors que leur "guerre contre le terrorisme" a tué et blessé un nombre incalculable de civils musulmans. Les politiciens américains doivent expliquer ce gros mensonge qu'ils colportent sur le Xinjiang !
