« Sommet pour la démocratie » : la farce politique américaine a accouché d’une souris

RCI 2021-12-11 21:13:53
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Le soi-disant « sommet pour la démocratie » convoqué par les États-Unis a mal terminé le 10 décembre. Il n’a rien d’autre qu’une grosse farce politique de son initiateur qui voulait s’en servir pour inciter à la division et à la confrontation, tout en veillant à son hégémonie. Plutôt qu’un sommet sur la démocratie, cette rencontre s’apparente à un acte antidémocratique. Personne ne le prend au sérieux. C’est une initiative vouée à l’échec.

Nathan Law, un fauteur de troubles à Hong Kong, en cavale parce que recherché par la police, a été curieusement invité par les États-Unis à ce soi-disant « sommet pour la démocratie », où il a publiquement débité des absurdités visant à discréditer Hong Kong et la Chine, distillant également des mensonges politiques. C’est tout simplement une entorse à la démocratie!

Un chef de file des mercenaires d’Internet, à la solde des autorités de Taïwan, a également été invité à prendre parole au soi-disant « sommet pour la démocratie » en tant que représentant des autorités de Taïwan. En fait, ces mercenaires d’Internet, qui se livrent à cœur joie aux violences, à la division et à la perturbation du processus électoral, sont ni plus ni moins les ennemis de la démocratie, mais ils ont été étonnement invités à ce sommet. Ironique !

La présence de ces deux misérables fauteurs de troubles au soi-disant « sommet pour la démocratie » a renforcé l’idée selon laquelle ce « sommet » n’était un simulacre de la démocratie. L’idée derrière consistait à se servir de la démocratie comme un bâton, pour inciter à la division et créer la confrontation.

Comme l’a dit le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergei Ryabkov, si les États-Unis changent le nom du sommet en « sommet pour l’hégémonie mondiale », ce sera plus honnête et correct.

Dans le monde d’aujourd’hui, la tendance à la paix et à la coopération est inéluctable. Sous la bannière de la démocratie, les États-Unis ont incité à la division et à la confrontation. Ce faisant, ils sont allés à contre-courant de l’histoire, en appréciant mal le contexte international actuel. Une erreur d’appréciation qui a mis à nu leur panique et leur angoisse alors que l’ « auréole » de leur démocratie s’estompait.

À l’heure actuelle, le monde est confronté à des défis sans précédent et la communauté internationale doit plus que jamais renforcer la solidarité et la coopération. Les États-Unis devraient abandonner la mentalité de la Guerre froide, poser des actes qui puissent rassurer la communauté internationale, en lieu et place de chercher à inverser le cours de l’histoire. Sinon, ils se mettraient dans une situation plus embarrassante !

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