Commentaire : le coupable « donneur de leçon en matière de droits de l’homme » n’a pas le droit de juger le Xinjiang

RCI 2021-10-19 22:38:04
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Le dirigeant américain a fait des campagnes au sujet du soi-disant « travail forcée » qui existerait à Xinjiang, et ont, de ce fait, discrédité la politique chinoise d’administration au Xinjiang. Comme si cela ne suffisait pas, les Etats-Unis attaquent la Chine à maintes reprises en recourant à la situation des droits de l’homme. Une attitude qui contredit son statut de « leadership moral » à l’échelle mondiale. Bien au contraire, leur comportement met à nu leur hypocrisie et leur politique de deux poids deux mesures en matière des droits de l’homme.

Depuis longtemps, l’administration américaine, faute des preuves, ne cessent de tisser des mensonges sur le prétendu « travail forcé » et un imaginaire « génocide » dans le Xinjiang. Accusant la Chine pour des violations des droits de l’homme, les Etats-Unis se sont même permis de lancer des « attaques » contre la Chine en faisant pression sur leurs alliés.

Récemment, plusieurs réseaux sociaux à l’étranger ont fait état de subornation des « témoins » dans le cadre de ce qui se passe au niveau de la « Cour spécial ouïgoure ». Une attitude qui prouve à suffisance que des accusations sur les violations des droits de l’homme au « Xinjiang » n’est qu’un pur produit de la chaîne de fabrication de mensonges mise en place par des Occidentaux hostiles à la Chine. Il s’agit en réalité d’un complot politique visant à freiner le développement industriel du Xinjiang et à saboter la stabilité dans la région.

A travers le monde, on s’aperçoit que les Etats-Unis servent de la situation des droits de l’homme au Xinjiang comme prétexte devant justifier son ingérence dans les affaires intérieures de la Chine, et plus particulièrement de cette région. Mais fort malheureusement pour eux, cette carte de « droits de l’homme » ne trouve plus preneur sur le plan international. Personne ne veut plus cautionner les manipulations des Américains.

A propos de ce qu’ils appellent « travail forcé », il convient de rappeler que les Etats-Unis ont aboli, il y a peu, en 1895 l’esclavage. Mais jusqu’à présent, ils peinent à se départir de l’héritage barbare qui se manifeste toujours, sous diverses formes, dans leur société. Selon les statistiques de plusieurs instituitions académiques américaines, au moins 500 000 personnes ont suffert de l’esclavage moderne et ont été contraintes aux travaux forcés dans le pays. Les Etats-Unis, qui n’ont toujours pas ratifié la plupart des conventions internationales sur le travail, laissent se développer des ateliers clandestins, le travail des enfants et le trafic des être humains.

Toutes ces preuves témoignent que les Etats-Unis sont, eux-mêmes, un pays qui viole gravement les droits de l’homme des travailleurs, surtout ceux des nationalités minoritaires, exposés aux « travaux forcés».

Non seulement ils sont incapables de résoudre leurs problèmes des droits de l’homme, les Etats-Unis sont également à la base de plusieurs cas de violations de droits de l’homme à travers le monde. Ils interviennent dans les affaires intérieures d’autres pays, au nom des droits de l’homme. Résultat : ces pays sont plongés dans des guerres et des conflits interminables.

C’est le cas de l’Afghanistan dont plus de 240 000 personnes, jusqu’en avril 2021, sont comptés parmi les victimes directs de la guerre déclenchée par les Etats-Unis ; dans ce lot, quelque 47 000 personnes sont des civils.

Par contre, grâce aux mesures antiterroristes prises par le gouvernement chinois, depuis quatre ans, le Xinjiang ne connaît pas des activités terroristes, la société se stabilise, ce qui sert d’une base solide pour le développement rapide de l’économie. La stabilité et le développement du Xinjiang sont le meilleur témoin de l’évolution des droits de l’homme dans cette région ouïgoure.

Pour cette raison, lorsque les politiciens américains et occidentaux ont abusé des ressources et des plateformes de l'ONU pour salir et attaquer le Xinjiang, les pays en développement, y compris la majorité des pays islamiques, les ont généralement condamnés. Cela montre que la communauté internationale ne croit plus aux désinformations qu'ils diffusent, et en ressent même du dégoût.

L’administration américaine devait regarder en face ses méfaits liés aux droits de l’homme et mener à bien ses propres affaires, au lieu d’intervenir dans les affaires intérieures d’autres pays sous prétexte des droits de l’homme.

Salir le Xinjiang n’est pas la solution aux problèmes des Etats-Unis. Cela ne va pas changer la prospérité et la stabilité du Xinjiang ou endiguer la tendance de développement de la Chine. C’est le moment pour les Etats-Unis de finir avec la « carte des droits de l’homme ».

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