Que les droits de l’hommiste occidentaux arrêtent leur cirque

Les rideaux viennent de tomber sur la 48e réunion du Conseil des Nations Unies pour les Droits de l’homme après un mois de travail. Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie ont fait objets de vives critiques pour leurs antécédents honteux sur le plan des droits de l’homme et leurs politiques hypocrites en la matière. La Chine a avancé à la session de clôture une résolution sur l’impact des questions léguées par le colonialisme. Un document qui démasque l’hypocrisie de l’Occident qui recherche l’hégémonie au nom des droits de l’homme, qui pratique la politique d’ingérence au nom de la démocratie.

Certains pays occidentaux ont tenté de se servir de la structure onusienne pour jouer la confrontation politique et d’utiliser des questions ayant rapport avec le Xinjiang ou Hong Kong pour stigmatiser la Chine. Or, la justice triomphe toujours du mensonge. Lors de la dernière réunion, une centaine de pays se sont prononcés à travers des discours ou lettres pour soutenir la Chine. Les dossiers du Xinjiang, de Hong Kong et du Tibet relèvent des affaires intérieures de la Chine, aucun pays n’a le droit d’y intervenir, ont soutenu ces pays.

Voyons les faits réels. Dans le Xinjiang, résultat des mesures antiterroristes prises par le gouvernement chinois, les populations locales voient leur sécurité totalement garantie et leurs droits légitimes dûment protégés. Le politologue britannique Carlos Martinez et la représentante de l’Association des jeunes d’origine chinoise du Pakistan Maria Zeb ont témoigné : ils sont tous allés visiter le Xinjiang ces dernières années et n’y ont jamais vu quoi que ce soit susceptible de suggérer « l’extermination culturelle » ou « l’oppression religieuse ». La soi-disant question des « droits de l’homme au Xinjiang » a été montée de toutes pièces par Washington dans l’objectif de contenir la montée de la Chine. Heureusement que la communauté internationale ne va pas se laisser duper.

Autant la Chine a bénéficié du soutien de la communauté internationale, autant des pays occidentaux ont soulevé un large ressentiment pour avoir abusé de la thématique des droits de l’homme pour s’ingérer dans les affaires des autres, et commis des crimes lamentables dans l’histoire : la traite des esclaves, le colonialisme, l’agression et l’expansion, l’extermination ethnique. Aujourd’hui même, on continue à constater dans certains pays des politiques et pratiques au mépris des droits de l’homme : le nationalisme vaccinal, le racisme systémique, la discrimination raciale, l’agression des réfugiés et des immigrés, la violation des droits des autochtones ou encore la politisation de la question des droits de l’homme.

La préservation des droits de l’homme est une cause sans fin. On peut toujours faire mieux. S’engageant sur une voie qui lui est propre, la Chine a su garantir les droits de son propre peuple et contribuer à la cause des droits de l’homme à l’échelle planétaire. Quant aux défenseurs des droits de l’homme autoproclamés de l’Occident, il est grand temps pour eux de s’acquitter de leurs dettes et d’arrêter de donner des leçons aux autres.