Commentaire : Le Japon, qui ne maîtrise même pas la technologie de filtration, ose décider de rejeter de l'eau usée radioactive !

Depuis que le gouvernement japonais a décidé de lancer le plan d'évacuation des eaux usées radioactives de Fukushima dans la mer, il a qualifié sa méthode d'évacuation de « sûre et fiable ». Cependant, un reportage des médias japonais datant du 20 juin a démasqué ce que le gouvernement japonais cherchait à dissimuler.

Selon ce reportage de la Société de radiodiffusion japonaise (NHK), la compagnie Tepco (Tokyo Electric Power Company), opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima, sollicite publiquement des technologies réalisables pour retirer le tritium des eaux usées radioactives. Cette nouvelle a soulevé un tollé de l'opinion publique. Certains internautes se demandent comment le gouvernement japonais peut oser prendre la décision de rejeter des eaux usées radioactives, alors qu'il ne maîtrise même pas la technologie de filtration.

En matière d'évacuation des eaux usées radioactives, quels sont les principaux maillons faibles techniques du Japon ? Selon le journal « Fukushima Minpo », en novembre 2013, les autorités japonaises avaient discuté de la façon de filtrer le tritium, cependant elles ont par la suite jugé qu'il était trop difficile de filtrer le tritium et qu'elles ne disposaient pas d'une telle technologie, elles ont donc décidé de ne pas le filtrer. Ainsi, le problème de la « séparation du tritium » des eaux usées radioactives de Fukushima a été retardé et n'a pas été résolu jusqu'à présent.

Pendant longtemps, le gouvernement japonais et la compagnie Tepco ont menti sur le traitement sûr des centrales nucléaires. Par exemple, à la mi-mai de cette année, la centrale nucléaire de Fukushima a laissé échapper un conteneur stockant des eaux usées radioactives, provoquant la fuite d'une partie des eaux contaminées dans la mer. Cependant, la compagnie Tepco a continué à le cacher et ne l'a admis que lorsque cela a été mis à jour par les médias et qu'il était vraiment impossible de le cacher.

Cette entreprise tristement connue pour des scandales de dissimulation a longtemps été discréditée. Comment la partie japonaise peut-elle garantir l'authenticité des informations et des données qu'elle fournit unilatéralement ? La sollicitation de Tepco concernant la technologie de séparation du tritium cette fois n'est probablement qu'un « spectacle » destiné au monde extérieur. Quant à savoir si la technologie peut être maîtrisée et si les substances radioactives peuvent être efficacement séparées, c’est la partie japonaise qui le sait le mieux.

Historiquement, le Japon a provoqué d'énormes catastrophes humanitaires dans de nombreux pays en raison de ses guerres d'agression pour lesquelles les politiciens japonais refusent de s'excuser. Aujourd’hui, le Japon poursuit son plan d'évacuation des eaux usées radioactives dans la mer, ce qui nuira à la vie et à la santé des peuples du monde et à l'environnement écologique mondial, et défie la justice et la conscience humaines.

La communauté internationale ne doit pas permettre au Japon de faire ce qu'il veut. Concernant la question du rejet des eaux usées radioactives de Fukushima, la partie japonaise ne devrait jamais vouloir rejeter sa faute et jouer une telle comédie pour échapper à la condamnation !