Commentaire : Qui irait croire au grand mensonge autour du « travail forcé » au Xinjiang ?

RCI 2020-12-22 22:19:16
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« Avons-nous besoin d'être forcés de sortir de chez nous pour gagner plus d'argent, acquérir plus de compétences et changer la vie ». C’est en ces termes que s’était interrogé Sierli McMattmin de Hotan du Xinjiang, lors d’une conférence de presse consacrée au problème du Xinjiang.

4 habitants du Xinjiang, dont Sierli ont eu un face à face avec les journalistes chinois et étrangers. Leurs déclarations ont mis à nu les grands mensonges de certains politiciens occidentaux.

Depuis le début de cette année, des forces occidentales hostiles à la Chine se sont lancées dans une sorte de campagne médiatique autour du prétendu « travail forcé » au Xinjiang, sous prétexte de protéger des droits de l’homme. Ces éléments hostiles à la Chine n’hésitent pas à menacer des sanctions contre des fonctionnaires, des établissements et des entreprises du Xinjiang. L’intérêt économique n’est pas le seul facteur qui les a poussés à agir ainsi. Leur vraie motivation consiste à créer des conflits entre les ethnies chinoises, à tromper l’opinion publique internationale et à discréditer la Chine.

Le soi-disant « travail forcé » est une pure invention du chercheur allemand anti-Chine Adrian Zenz et de l’Institut australien des politiques stratégiques. Il s’agit d’une campagne de diabolisation que mènent des forces américaines et australiennes hostiles à la Chine, dans l’idée de déclencher une nouvelle guerre froide, avait dénoncé « The Grayzone », un site américain indépendant d'informations, dans un long article publié en mars dernier. A noter que l’Institut australien de politique stratégique, longtemps financé par les services américains de la Défense et de la Diplomatie, ainsi que les marchands de canons américains, n’a pour autre mission que de créer des rumeurs anti-Chine.

Dans quelles conditions travaille la population du Xinjiang, Les faits parlent d’eux-mêmes.

Le Livre blanc sur la Sécurité de l'emploi au Xinjiang et le Rapport d’enquête sur l'emploi des minorités ethniques au Xinjiang, que la Chine a publiés en septembre et octobre dernier, n’ont relevé aucune situation de travail forcé dans la région. Depuis 2014, 117 000 de travailleurs originaires du Xinjiang ont trouvé du travail ailleurs, dans d’autres provinces du pays. Une partie d’entre eux y travaillent jusqu’à ce jour.

McMattmin, promu aujourd’hui au chef de l’atelier, a dit qu’il travaillait huit heures par jour et mangeait dans le restaurant hallal. Son salaire est fixé en fonction de performance, « Les Hans ne gagnent pas plus que les Ouïgours », a-t-il affirmé.

Au cours de la conférence de presse du 21 décembre, PaizZeyYeyan Tursun, une jeune femme de 23 ans, habitante d’Asku, dans le Xinjiang, s’est mise à raconter son parcours professionnel, révélant que son salaire mensuel était passé de 2 000 à 5 000 yuans au bout d’un an. « Je suis très satisfaite de mon travail et de ma vie actuelle… Je suis libre et heureuse », a-t-elle indiqué.

Les expériences personnelles des habitants du Xinjiang ont prouvé que les politiques sur la gestion du Xinjiang établies et mises en œuvre par le gouvernement chinois ont contribué à la stabilité et au développement de la région. Ces mesures répondent aux attentes de la population locale. « Personne ne peut nous priver du droit à une meilleure vie ». Telle est l’affirmation de McMattmin, une réponse de force à la diffamation occidentale.

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