Commentaire : En pratiquant le jeu « deux poids deux mesures », la partie américaine s’attire la honte

RCI 2019-11-21 21:50:37
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Le Sénat américain a récemment adopté le soi-disant Projet de loi sur les droits de l’Homme et la démocratie à Hong Kong 2019, ce qui constituait une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine et violait gravement le droit international et les normes fondamentales régissant les relations internationales. La partie chinoise l’a vivement condamnée et s’y est fermement opposée. Les gens sensés comprennent bien ceci: ce prétendu projet de loi de la partie américaine n’a rien à voir avec la «démocratie» ni les «droits de l’Homme»; ils se servent de ce prétexte pour soutenir et inciter les criminels violents et radicaux à se livrer à des manœuvres antichinoises et à perturber Hong Kong. Ce comportement hégémonique perfide de «juridiction au bras long» ne réussira jamais et a révélé une fois de plus leur pratique «deux poids deux mesures» à l’américaine, qui s’avère extrêmement hypocrite et scandaleuse.

En tant qu’unique superpuissance au monde, les États-Unis se sont livrés depuis longtemps à des actes de l’hégémonisme et de la politique du plus fort dans les affaires étrangères sous couvert de démocratie, de liberté et des droits de l’Homme.

Depuis l’incident de la modification d’ordonnances survenu à Hong Kong il y a plus de cinq mois, certains Américains ont encore une fois pratiqué le jeu «deux poids deux mesures». Ils ont fermé les yeux sur des affrontements armés, des destructions et des déprédations des casseurs et ont même rencontré publiquement les chefs de file des forces prônant «l’indépendance de Hong Kong» pour les soutenir et encourager. Ils ont calomnié la police dévouée de Hong Kong en les accusant «d’abus de violence». Ces agissements n’ont rien à voir avec la sauvegarde de la démocratie, des droits de l’Homme et de la liberté, mais sont bien une profanation de ces valeurs !

Il a été constaté que la police américaine avait traité avec force la campagne «Occupy Wall Street» de 2011, les émeutes de 2015 à Baltimore dans le Maryland et les manifestations de 2019 à Portland dans l’Oregon. Si les crimes violents et radicaux perpétrés à Hong Kong sont commis aux États-Unis, quel genre de sanctions sévères la police américaine pourrait-elle imposer aux intéressés?! Certains politiciens américains pourraient-ils également qualifier les atrocités de «beau paysage» comme bon leur semblait ?

Récemment, face aux émeutes qualifiées de « reproduction d’expérience de Hong Kong» qui ont éclaté en Catalogne en Espagne, le gouvernement américain qui tolère et encourage les crimes violents et radicaux perpétués à Hong Kong, a choisi de garder le silence. On se demande alors pourquoi n’a-t-il pas exprimé son soutien aux émeutiers en brandissant l’étendard de «la liberté» et de «la démocratie» ?

Face aux incidents de la même nature, certains Américains ont réagi de manière toute différente. Cela révèle complètement qu’ils ne respectent pas vraiment les valeurs de la démocratie, de la liberté et de l’état de droit, mais les considèrent comme un instrument pour s’immiscer dans les affaires intérieures d’autres pays. Leurs agissements reviennent justement à abuser de la démocratie, à violer les droits de l’Homme, à bafouer l’état de droit et à plaidoyer pour la violence.

Le jeu «deux poids deux mesures» ne peut pas aider certains individus aux États-Unis à atteindre leurs objectifs politiques sinistres. Bien au contraire, cette pratique noircirait l’image des États-Unis et appauvrira la crédibilité des États-Unis. La partie américaine s’attire la honte et subira les conséquences fâcheuses qui en découleraient.

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