Commentaire : La tentative de Mike Pompeo à « tirer les marrons du feu » ne fera qu’attirer le feu sur lui-même

RCI 2019-11-17 21:26:05
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Hong Kong continue à être le théâtre de violences criminelles. Plus de 100 personnes ont été blessées, un civil innocent tué. Cependant, le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo, de l’autre côté de l’océan, continue de fermer les yeux sur ces atrocités qui ont gravement piétiné l’état de droit. Il a de nouveau tenu des propos très inappropriés disant qu'il espérait que la Chine réglerait «de manière non violente» le problème de Hong Kong et accusé par derrière la politique dite «un pays, deux systèmes». Ces propos absurdes, utilisant le critère «deux poids deux mesures» et appelant noir ce qui est blanc, n’ont rien à voir avec l’esprit de droit, vont totalement à l’encontre de la bonne conscience et constituent une ingérence ouverte dans les affaires intérieures de la Chine. Ces propos dévoilent encore une fois le sinistre complot de celui qui les a lâchés visant à faire pression sur la Chine.

Sans parler des activités criminelles violentes dans les rues de Hong Kong, Pompeo a cependant critiqué les mesures faisant preuve d’une grande retenue prises par le gouvernement de la Région administrative spéciale de Hong Kong et a dit qu'il espérait que la Chine «réglerait de manière non violente» le problème de Hong Kong. Du mouvement de «l’occupation de Wall Street» aux Etats-Unis à celui des «gilets jaunes» en France, en passant par les émeutes de Londres, les autorités européennes et américaines se sont attachées à appliquer rigoureusement la loi. Pourquoi les politiciens occidentaux n’avaient-ils pas appelé à une solution «non violente» ? Dès qu’il s’agit de Hong Kong, les politiciens comme Pompeo ont immédiatement changé de visage, ces attitudes ridicules et absurdes ne peuvent que leur attirer des quolibets.

La politique dite «un pays, deux systèmes» est le meilleur arrangement institutionnel pour maintenir la prospérité et la stabilité à long terme après le retour de Hong Kong à la patrie, ce qui a permis à ses habitants de devenir véritablement les maîtres et de jouir de libertés et de droits démocratiques sans précédent. Comme le disent les médias de Hong Kong, la politique «un pays, deux systèmes» constitue le principal atout de Hong Kong et a permis à Hong Kong de partager le dividende du développement national. L’accusation de Pompeo contre l’administration du gouvernement central chinois à Hong Kong est une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine. C’est une diffamation publique qui viole les normes fondamentales du droit international et des relations internationales et ne constitue qu’une honte.

Aux Etats-Unis, le Fonds national pour la démocratie a subventionné, ouvertement ou en cachette, les indépendantistes de Hong Kong. Des politiciens comme Pompeo ont rencontré à plusieurs reprises des émeutiers hongkongais. Des législateurs anti-chinois ont soutenu les motions relatives à Hong Kong au Congrès. Leurs intentions sinistres de s'engager dans la «révolution de couleur» et de mener le désastre sur le continent chinois sont plus qu’évidentes !

Lors de sa participation au 11e sommet des BRICS à Brasilia, le président Xi a insisté sur la ferme détermination du gouvernement chinois en ce qui concerne la sauvegarde de la souveraineté, de la sécurité nationale et des droits de développement, l’application du principe dit «un pays, deux systèmes» et l’opposition à toute interférence externe aux affaires hongkongaises. Cette position met en lumière la volonté ferme du gouvernement chinois à sauvegarder la souveraineté du pays. Pour les Pompeo, il ne faut pas se tromper là-dessus. Toutes tentatives de «tirer les marrons du feu» seront vouées à l’échec, elles ne feront qu’attirer le feu sur elles-mêmes et seront rejetées par les 1,4 milliard de Chinois et par tous les humains de bonne volonté. Elles seront clouées à perpétuité au pilori de la honte !


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