Commentaire : Problème du Xinjiang : 54 pays approuvent les progrès de la Chine

RCI 2019-10-30 21:54:19
Share
Share this with Close
Messenger Messenger Pinterest LinkedIn WeChat

La troisième Commission de l'Assemblée générale des Nations unies a examiné, mardi 29 octobre, les questions relatives aux droits de l'homme. La Biélorussie, pays qui a pris parole au nom de 54 pays, a salué dans le discours conjoint, les mesures anti-terroristes et contre la radicalisation prises par la Chine au sujet du Xinjiang, indiquant que ces mesures protègent efficacement les droits de l'homme fondamentaux des habitants de toutes les ethnies de cette région. Le groupe de 54 pays a également affiché son opposition à la politisation du problème des droits de l'homme et appelé à mettre fin aux accusations gratuites contre la Chine.

Certains pays, à l’instar des Etats-Unis, font du problème du Xinjiang un «problème international» brûlant. Ces pays cherchent à discréditer la Chine, en abusant des sujets liés à la lutte contre le terrorisme, aux droits de l’homme et à la protection religieuse au Xinjiang. Leur dernier acte en date : une dizaine de pays dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont déposé sur la table de la Commission des droits de l’homme des Nations unies une déclaration commune demandant à la Chine « de mettre fin à la détention des Ouïghours et des autres membres de minorités musulmanes du Xinjiang ».

Cette déclaration commune concoctée par les pays occidentaux se heurte cette fois à une contre-attaque menée par le groupe de 54 pays. C’est une confrontation entre la « vérité » et le « préjugé ». Nombreux sont des pays qui se mettent aux côtés de la Chine, qui respectent la vérité sur le développement du Xinjiang.

Les 54 pays ont signalé dans leur discours conjoint que des fléaux tels que le terrorisme, le séparatisme et l’extrémisme religieux avaient porté gravement atteinte à toutes les ethnies du Xinjiang, violant les droits fondamentaux de la population, notamment le droit à la vie, à la santé et au développement ; les mesures appliquées, y compris la création des centres d’enseignement et de formation professionnels ont modifié la situation d’insécurité locale et ont protégé efficacement les droits fondamentaux des populations de toutes les ethnies ; et aucun incident terroriste n’avait été signalé depuis trois ans. C’est dans ce sens que les 54 pays ont salué le respect et la protection des droits de l'homme par la Chine dans la lutte contre le terrorisme et la radicalisation. Un jugement objectif et équitable ne peut se faire que sur la base des faits.

Le discours conjoint a également félicité la Chine dans le cadre de son ouverture et sa transparence, en invitant des représentants diplomatiques, des responsables d'organisations internationales et des journalistes à se rendre au Xinjiang. Constatant le décalage entre ce que ces personnes ont vu et témoigné sur place et les nouvelles telles que rapportées dans des médias occidentaux, les 54 pays ont jugé bon de rappeler dans leur discours conjoint, aux pays concernés de cesser les accusations infondées contre la Chine, en partageant des informations injustifiées. Ils ont également exhorté des institutions comme le Haut-Commissariat des Nations-unies aux droits de l’homme d’agir de manière objective et impartiale et de travailler sur la base d’informations réelles et fiables.

Si la Biélorussie et d'autres pays ont exprimé leur solidarité envers la Chine sur le «problème du Xinjiang», c’est parce qu’en plus de reconnaitre les réalisations du Xinjiang dans les domaines de l'antiterrorisme, du développement économique et social, ils s’opposent également à la politique de deux poids deux mesures telle qu’appliquée par certains pays occidentaux, au niveau des critères liés aux droits de l’homme. Les faits ont prouvé que les mesures préventives de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation mises en vigueur par le gouvernement local du Xinjiang garantissent les droits fondamentaux des 25 millions d’habitants de cette région. Il s’agit d’une contribution importante de la Chine à la cause de la lutte contre le terrorisme à l’échelle mondiale et constitue également une référence pour la communauté internationale, y compris l’Occident. Face à la vérité criante, aucune diffamation lancée par les pays occidentaux ne trouvera écho au sein de la communauté internationale.

Partager

Articles les plus lus