Commentaire : Toute tentative des forces étrangères visant à plonger Hong Kong dans le chaos sera vouée à l’échec

RCI 2019-09-06 21:35:18
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Un très petit nombre d’émeutiers ont profité de récentes vagues de violences à Hong Kong pour prôner ouvertement « l’indépendance de Hong Kong ». Leur manière d’agir a présenté des caractères distinctifs de « la révolution de couleurs». Parallèlement, la Fondation nationale pour la démocratie (NED) est sortie de l’ombre. Mais peu importe les vagues de violences, toute tentative visant à engager une « révolution de couleurs » à Hong Kong sera d’ores et déjà vouée à l’échec.

La Fondation nationale pour la démocratie a été créée en 1983. Prétendant être une « organisation non gouvernementale », elle a en réalité été établie par la législation du Congrès américain. La plupart de ses ressources proviennent de subventions gouvernementales. Sous couvert de « soutien à la démocratie dans d’autres pays », ses actions sont de nature à subvertir le pouvoir d’autres pays par « la révolution de couleurs ». Comme l’a décrit Allen Weninstein, l’un des fondateurs de la NED, « beaucoup de choses que nous faisons aujourd’hui, sont celles que la CIA a faites secrètement, il y a 25 ans ».

Il est clairement établi que la NED a financé le mouvement illégal « Occupy Central » en 2014. Lors des récentes activités violentes à Hong Kong, la NED, de connivence avec les forces anti-Chine et les fauteurs de troubles à Hong Kong, a tenté de lancer une « révolution de couleurs » à Hong Kong pour paralyser le gouvernement de cette région administrative spéciale (RAS), en s’emparant de son pouvoir de gouvernance et remettre ainsi en cause « un pays, deux systèmes ». Le but ultime consiste à faire « la révolution de couleurs » s’infiltrer à l’intérieur du pays.

Des chefs des fauteurs de troubles à Hong Kong, dont Martin Lee et Nathan Law, étaient en lobbying aux Etats-Unis, en mai dernier. Le 14 mai, ils ont prononcé un discours très incendiaire à la NED. Un responsable du programme asiatique de la Fondation a posé la question suivante à Nathan Law: «Après 2014, en 2015, 2016 et 2017, chaque année, je vous pose cette même question: que pouvons-nous faire pour vous ? Comment pouvons-nous vous aider?»

Cependant, aucune«révolution de couleurs» ne réussira à Hong Kong. La Chine ne permettra la présence, sur son territoire, d’aucune activité susceptible de mettre en danger sa souveraineté nationale, de défier le pouvoir de son gouvernement central et l’autorité de la Loi fondamentale de la RAS de Hong Kong.

A l’heure actuelle, le gouvernement de la RAS de Hong Kong a revu à la baisse les prévisions de son taux de croissance du PIB de l’année. Ce qui montre que la poursuite des violences ouvrirait probablement la voie à une croissance négative de l’économie de Hong Kong. 7 millions de Hongkongais sont bien conscients des conséquences désastreuses de «la révolution de couleurs». Ils ne permettraient jamais à la version hongkongaise de «la révolution de couleurs» de laisser cette «Perle de l’Orient» sombrer dans le «chaos».

On ne le dira jamais assez, Hong Kong appartient à la Chine. Les forces étrangères telles que la NED ne doivent pas sous-estimer la ferme volonté et la détermination inébranlable du gouvernement central et du peuple chinois de sauvegarder la souveraineté nationale, la sécurité et l’unité, ainsi que de préserver la prospérité et la stabilité de Hong Kong.

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