Commentaire : les semeurs de trouble étrangers ne sont absolument pas tolérés à Hongkong

Suite à une série de violences extrêmes survenues à Hongkong, des officiels américains et britanniques ont à plusieurs reprises affirmé que le gouvernement de la RAS de Hongkong devait respecter la liberté de parole et de réunion et que son autonomie devait être garantie. Avec ces propos ignorants et erronés, ils soutiennent les éléments qui ont semé le trouble à Hongkong et provoquent le principe d’«un pays, deux systèmes». Cela constitue une ingérence flagrante dans les affaires intérieures de la Chine. La partie chinoise exprime un profond mécontentement et affirme son opposition énergique.

Les pays occidentaux, en particulier le Royaume-Uni, ne sont pas bien placés pour parler de la liberté d’expression et de réunion à Hongkong. Sous la gouvernance britannique, les résidents de Hongkong n’avaient pas une once d’autonomie. Le plus haut dirigeant de Hongkong de l’époque avait été désigné par Londres. Selon l’universitaire britannique Martin Jacques, le peuple de Hongkong n'a jamais vu l'ombre de la démocratie pendant la colonisation.

Hongkong est une société régie par les lois. La loi fondamentale de Hongkong garantit la liberté et le droit de ses résidents de parler, de se réunir et de manifester. Cependant, tout résident doit respecter les droits d'autrui dans l'exercice de ces droits. Personne ne doit porter atteinte à l'ordre public ni à la sécurité publique de Hongkong, et ne doit aller au-delà de la limite légale et commettre des crimes violents. Ces derniers jours, des militants extrêmement violents ont fait l’intrusion dans le bâtiment du Conseil législatif de Hongkong, attaqué la police, bloqué le bureau de liaison du Gouvernement populaire central à Hongkong et abîmé l'emblème national. Ces actes de violence ne sont plus des manifestations pacifiques. C'est une provocation flagrante aux lois de Hongkong, au principe d’«un pays, deux systèmes» et à l'autorité du gouvernement central. Maintenant la police de Hongkong traite les actes de violence conformément à la loi. Elle remplit leur mission de maintenir la stabilité sociale et préserver la dignité d'une société régie par les lois.

Au cours des 22 années écoulées depuis le retour de Hongkong à la patrie, le gouvernement chinois a effectivement mis en œuvre le principe d’«un pays, deux systèmes». Avec un haut degré d’autonomie, les habitants de Hongkong jouissent de droits et libertés démocratiques sans précédent, conformément à la loi, tandis que le PIB de Hongkong est passé de 1370 milliards de dollars en 1997 à 2840 milliards de dollars en 2018.

Selon les récents reportages des médias, les activités criminelles violentes à Hongkong ont été manipulées et orchestrées par des forces extérieures. La police locale a saisi les puissants explosifs (TATP) et a arrêtés des suspects, dont l'un est soupçonné d'entretenir des liens avec des terroristes internationaux. En même temps, des consulats basés à Hongkong ont relayé des propos irresponsables tout en ignorant les principes du droit international et des relations internationales. On peut déduire à partir de ces signes que les récentes violences à Hongkong n’ont rien à voir avec la liberté d’expression et de réunion, qu’il s’agit d’un crime organisé en collusion avec des forces extérieures. De l'occupation illégale de 2014 aux récentes violences, des forces extérieures ont toujours tiré les ficelles dans les coulisses à Hongkong, créant le chaos, formant des marionnettes pour manipuler la gouvernance de Hongkong.

Le 20 juillet, plus de 300 000 Hongkongais ont participé au rassemblement pacifique et lancé un appel commun en faveur de l'état de droit, de la paix, de la stabilité et de l'unité. Le peuple de Hongkong n’est pas aveugle et se rend clairement compte des intentions sinistres de quelques extrémistes. Il est profondément conscient de l’importance de la sécurité et de la stabilité. Sans lesquelles, leurs droits et libertés ne peuvent pas être garantis. Hongkong est un port franc, et pourtant tolérance zéro pour les semeurs de trouble.