Lors de la conférence des droits de l'homme, organisée pour la première fois à Beijing, le 21 avril, les spécialistes chinois et étrangers du secteur ont déclaré que récement, certains pays occidentaux avaient critiqué la Chine à travers la question des Droits de l'homme. Il a été question d'ingérence dans les affaires intérieures chinoises.

Le vice-président de l'Université centrale des ethnies de Chine Shesrab Nyima, a déclaré que les groupes anti-chinois occidentaux s'intéressaient à la question des Droits de l'homme en Chine, non pas pour l'Humanité mais pour leur propre suprématie. A travers la question des droits de l'Homme, il était en fait question d'encourager l'indépendance du Tibet.

Le responsable du Centre de recherches politiques de New Delhi, en Inde, Mohan Guruswamy s'est rendu au Tibet pendant une semaine l'an passé. Il a déclaré que le Tibet se développait et que les habitants étaient satisfaits de leurs vies. Il a aussi souligné que les pays occidentaux avaient critiqué la Chine sur la question des Droits de l'homme, mais que cela faisait partie des affaires intérieures chinoises.

Le directeur du Bureau des droits internationaux, de l'Université du peuple russe, Aslan Abshidze, a également souligné que la question du Tibet était une affaire intérieure à la Chine et que ceux qui ne connaissent pas l'histoire du Tibet n'ont pas le droit d'émettre de critiques. Saboter le droit international, c'est violer les Droits de l'homme.