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Une lettre d'Ibrahima Sidibe, qui nous écrit de Gambie «Bonjour, il fait très chaud ici, je pense bien que ce n'est pas vraiment le cas à Beijing. Je trouve la musique ethnique chinoise tellement belle? Comment puis-je télécharger certaine d'entre elles ? Je suis sensible aux sons de flûtes et - je crois - ce qu'on appelle le "gong".
c'est la première fois que je vous écris depuis que j'écoute votre radio et croyez-moi, quand je me suis retrouvé au c?ur de la forêt equatoriale au Cameroun est, au nord Congo ou encore en Centrafrique, eh bien c'est vous que j'écoutais toutes les nuits après le boulot.»
Réponse : Ibrahima, merci beaucoup pour cette sollicitude... Ici à Beijing; ce n'est en effet pas encore le temps des grandes chaleurs, le printemps pékinois n'est pas trop chaud, il se caractérise surtout par de grands vents. Pour l'instant nous n'avons eu qu'une seule fois à subir les foudres des tempêtes de sable que nous envoie chaque année, à cette époque, le désert de Gobi? Il faut dire que l'an dernier; la capitale chinoise a pour le moins été gâtée, puisque pas moins de 19 tempêtes de sable ont déferlé dans le ciel de Beijing, un triste record qui, on l'espère, ne sera pas battu.
Pour ce qui est de la musique chinoise, on peut en écouter des extraits dans les émissions musicales de notre radio. Pour cela, il suffit d'aller sur notre site, dans la rubrique Radio en ligne. On ne peut pas encore télécharger les morceaux en eux-mêmes, mais dès que l'on édite un nouveau CD de musique chinois, c'est promis, on en réserve un à Ibrahima pour l'envoyer en Gambie. |
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