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Le Dalaï Lama et ses partisans ne peuvent pas nier leur responsabilité dans l'affaire des émeutes de Lhassa. C'est ce qu'indique Bi Hua, une tibétologue chinoise, dans son article, paru le 16 avril, dans le journal « Clarté ».
Face aux actes de vandalisme, de saccage et de tueries, face aux crimes féroces commis par certains moines, le Dalaï Lama, au lieu de faire preuve de bonté, de bienveillance et de compassion envers les personnes innocentes qui ont subi des violences, a cherché à se protéger avec des mensonges, et à nier sa responsabilité. Bi Hua s'est exprimé en ces termes, avant d'avouer sa grande déception face au comportement du 14ème Dalaï Lama, comportement, qui, aux yeux de la tibétologue trahit les valeurs fondamentales du bouddhisme.
Le Dalaï Lama et ses fidèles n'ont cessé, depuis le jour où ils sont partis en exil, de provoquer de la haine à l'égard du Parti communiste et de la Chine nouvelle. Ils n'ont jamais renoncé à leurs tentatives, en vue de séparer le Tibet du territoire chinois, et de restaurer leur domination sur le Tibet. Pour atteindre ces objectifs, ceux-ci n'ont pas hésité à mentir, à blasphémer, ou mettre en danger des vies innocentes, souligne Bi Hua. A propos des dernières violences de Lhassa, la scientifique a indiqué que le Dalaï Lama a incité les émeutiers, et les a finalement poussés à attaquer et à tuer de la plus vile des manières. |
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