L'Agence Chine nouvelle a publié le 6 avril un article indiquant qu'un regard rétrospectif sur l'histoire et sur ses propos et son comportement tenus au début de la libération pacifique du Tibet nous fait savoir que le Dalaï Lama se comporte de manière Foncièrement différente dans le passé et à l'heure actuelle.
En 1951, le gouvernement populaire central et le gouvernement local du Tibet ont conclu un accord selon lequel le Tibet pratique une autonomie ethnique régionale et les affaires du Tibet avec l'étranger seront traitées par les autrorités centrales. Le Dalaï Lama a, par la suite, adressé à Mao Zetong un message exprimant un soutien unanime du gougernement local et des moines et population tibétains à l'accord signé.
En 1954, le Dalaï Lama s'est rendu à Beijing pour participer au premer Congrés de l'Assemblée populaire nationale(APN) de la République populaire de Chine. Dans son discours prononcé à la réunion, il a affirmé que la population tibétaine s'est rendue compte effectivement qu'elle jouïssait de la liberté de la croyance religieuse. Et il a été élu vice-président du comité permanant de l'APN à cette occasion.
En 1959, des propriétaires d'esclaves réactionnaires en collusion avec des forces anti-chinoises extérieures ont déclenché un rébellion armé dont le chef de fil a pris la fuite à l'Inde en entraînant le Dalaï Lama.
L'article continue : après son exil à l'étranger, le gouvernement central a réservé ses anciennes fonctions pendant cinq ans. Mais à l'instigation des forces anti-chinoises et sépartistes à l'étranger, le Dalaï Lama est allé à l'encontre de la position patriotique qu'il avait énoncée auparavant, et prône ouvertement que « le Tibet est un Etat indépendant » en se livrant aux activités séparatistes. Il a donc changé totalement sa conduite. |