Infos du jour 2016-04-01
  2016-04-01 15:00:03  cri

Le 31 mars, le président chinois Xi Jinping a rencontré, à Washington, son homologue américain Barack Obama. Ils ont échangé des vues sur le développement des relations sino-américaines, des problèmes régionaux et internationaux d'intérêt commun. Les deux parties sont convenues d'approfondir la coopération dans divers domaines, renforcer la communication dans les affaires internationales, consolider les intérêts communs des deux pays en vue de promouvoir le développement des relations bilatérales sur une voie saine et stable.

Xi Jinping a indiqué que grâce aux efforts communs des deux parties, les relations sino-américaines ont réalisé des progrès importants. Le volume du commerce bilatéral, le montant des investissements réciproques, le volume des échanges de personnels ont battu de nouveaux records dans l'histoire. Les deux pays ont maintenu une bonne communication et coopération dans des problèmes régionaux et internationaux importants comme le changement climatique, le problème nucléaire iranien, le maintien de la paix, la santé et le développement.

Xi Jinping a souligné que la Chine et les Etats-Unis avaient les mêmes responsabilités importantes pour promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité du monde. Les deux pays ont plus d'intérêts que de divergences et leur coopération sera bénéfique aux autres pays du monde. Ils doivent renforcer leur communication dans la politique macro-économique en vue de réaliser une croissance de l'économie mondiale puissante, durable et équilibrée.

De son côté, le président Obama a réitéré que la partie américaine était favorable à une Chine paisible, stable et en réussite, et que la stabilité sociale et politique de la Chine et son succès dans l'économie correspondaient non seulement aux intérêts de la Chine, mais aussi aux intérêts des Etats-Unis.

Le président chinois Xi Jinping a rencontré jeudi à Washington la présidente de la Corée du sud Park Geun-Hye. Les deux chefs d'Etat ont échangé leurs points de vue sur les relations entre les deux pays et les grandes questions internationales et régionales d'intérêt commun.

Selon Xi Jinping, depuis l'établissement des relations diplomatiques entre la Chine et la Corée du sud il y a 24 ans, la relation entre les deux pays se développe d'une manière stable et rapide. La Chine accorde depuis toujours une grande importance à sa relation avec la Corée du sud.

Le président chinois a souligné que les échanges de haut niveau entre les deux pays devaient être maintenus, et les coordinations étroites renforcées via une série de mécanismes d'échange stratégique. Les deux partis doivent promouvoir la mise en service de l'accord de libre-échange entre les deux pays, renforcer les coopérations dans les domaines de la finance et des échanges socio-culturels.

Selon la présidente sud-coréenne, la situation économique actuelle du monde exige un renforcement de la coopération commerciale entre la Chine et la Corée du sud. Et la mise en service de l'accord de libre-échange entre les deux pays doit être accélérée, a-t-elle ajoutée.

Le président chinois Xi Jinping a rencontré le Premier ministre danois Lars Loekke Rasmussen jeudi à Washington en marge du 4ème Sommet sur la sécurité nucléaire, appelant à cette occasion à intensifier le développement des relations bilatérales.

"Le développement soutenu et approfondi des relations Chine-Danemark est dans l'intérêt commun des deux pays et des deux peuples", a déclaré M. Xi.

La Chine et les États-Unis ont réaffirmé jeudi leur engagement à lutter ensemble contre les changements climatiques, alors que ces deux grands émetteurs de gaz carbonique au monde, prévoient de signer le mois prochain un accord ambitieux sur le climat.

Dans un communiqué présidentiel commun sur les changements climatiques publié jeudi à Washington, la Chine et les États-Unis ont annoncé qu'ils signeraient le 22 avril l'Accord de Paris, plusieurs mois après l'adoption de ce pacte historique sur les changements climatiques lors de la 21ème session de la Conférence des parties (COP21) en décembre dernier à Paris en France. 

La Chine et les États-Unis, travaillant ensemble et en collaboration avec les autres pays, ont joué un rôle décisif dans l'élaboration de cet accord, adopté par les 196 parties de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques.

Le secrétaire américain à l'Énergie, Ernest Moniz, a fait l'éloge jeudi de la contribution de la Chine au renforcement de la sécurité nucléaire.

M. Moniz a cité en exemple le Centre d'excellence sur la sécurité nucléaire, un site dédié à la sécurité nucléaire mis en service récemment à Beijing en Chine, y voyant le fruit d'une "collaboration formidable" entre les deux pays.

Avec une capacité de formation d'environ 2 000 agents de sécurité nucléaire par an, le Centre d'excellence sur la sécurité nucléaire à Beijing "est une ressource exceptionnelle pour la Chine et l'ensemble de la région", a déclaré M. Moniz en visitant le pavillon de la Chine à l'Exposition du sommet sur le sécurité nucléaire, en compagnie de Xu Dazhe, président de l'Autorité chinoise de l'énergie atomique (CAEA).

La Russie a réfuté jeudi les informations véhiculées par les médias selon lesquelles Moscou et Washington auraient atteint un accord sur l'éviction du président syrien Bachar al-Assad.

"La différence entre la Russie et les autres pays réside dans le fait que la Russie ne discute pas de la question de l'autodétermination des pays tiers, dont la Syrie", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dimitri Peskov.

"Le quotidien al-Hayat a publié des informations qui ne correspondent pas à la réalité", a déclaré M. Peskov, cité par l'agence de presse TASS.

Citant des sources diplomatiques du Conseil de sécurité de l'ONU, le quotidien basé à Londres a récemment indiqué que le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré aux dirigeants de plusieurs pays arabes que la Russie et les Etats-Unis avaient atteint un accord et que M. Assad allait quitter le pouvoir et s'exiler à l'étranger.

La Russie a refusé d'exclure M. Assad du processus de résolution politique du problème syrien, déclarant que les Syriens eux-mêmes devaient décider de l'avenir de leur pays.

La Russie soutient le gouvernement Assad en Syrie, alors que les Etats-Unis et leurs alliés demandent au contraire sa démission.

Zhai Jun, l'ambassadeur de Chine en France, a rencontré Ségolène Royal, ministre française de l'Environnement, de l'Écologie, et de la Mer, chargée des Relations interntaionales sur le climat. Ils ont échangé leurs points de vue sur la coopération bilatérale dans les domaines tels que le changement climatique et le développement durable. Les deux parties ont exprimé leur volonté d'appliquer efficacement le résultat de la conférence sur le climat qui s'est tenue l'année dernière à Paris.

La Corée du Sud a remis jeudi à la Chine les restes de 36 soldats chinois tués pendant la guerre de Corée (1950-1953). Une cérémonie de remise a eu lieu jeudi matin à l'aéroport international d'Incheon, à environ 50 km à l'ouest de Séoul.

Les cercueils et les effets personnels des soldats morts ont été officiellement remis à une délégation chinoise dirigée par le vice-ministre des Affaires civiles Dou Yupei.

L'ambassadeur de Chine en Corée du Sud, Qiu Guohong, a couvert les cercueils de drapeaux chinois et une brève cérémonie à leur mémoire a eu lieu avant que les restes ne soient renvoyés en Chine par un avion militaire chinois.

Il s'agit de la troisième cérémonie de ce type après la remise des restes de 505 soldats chinois en 2014 et 2015.

Après la cérémonie, M. Dou a indiqué à la presse que la Corée du Sud et la Chine, dans un esprit d'amitié et de coopération, ont organisé trois cérémonies de remise des restes, ce qui reflète le développement sain, continu et durable du partenariat de coopération stratégique entre les deux parties.

Le Conseil des Affaires d'Etat, le gouvernement central chinois, a dévoilé, jeudi, les priorités de la réforme économique de cette année.

Les réformes pour 2016 couvrent dix domaines, des entreprises étatiques à la politique d'ouverture, a fait savoir le gouvernement central dans un communiqué.

Le gouvernement s'est engagé à encourager les sociétés privées à prendre part aux réformes des entreprises étatiques et à permettre au capital privé d'investir dans les secteurs clé, dont l'électricité, le pétrole, le gaz naturel, les chemins de fer, l'aviation et les télécommunications.

D'après le communiqué, le gouvernement va réduire davantage les procédures administratives, assouplir les contrôles sur l'accès au marché et les investissements, faire avancer la réforme structurelle du côté de l'offre, réduire la surcapacité, déstocker, désendetter, diminuer les coûts et offrir un renfort en faveur des zones à faible croissance.

Un porte-parole du ministère chinois de la Défense nationale a demandé, jeudi, à ce que le budget militaire du Japon soit plus transparent.

Le Japon augmente ses dépenses de défense depuis des années, provoquant les inquiétudes de ses voisins, ainsi que de la communauté internationale, a indiqué Yang Yujun, lors d'une conférence de presse mensuelle, affirmant que le Japon devait expliquer ses intentions réelles.

Le Japon a approuvé un budget militaire record de 5.050 milliards de yens (environ 41,90 milliards de dollars) pour l'année budgétaire 2016, en hausse de 1,5% en glissement annuel.

Il s'agit de la quatrième année consécutive au cours de laquelle le Japon augmente son budget de défense.

M. Yang a également réfuté les critiques du Japon concernant la hausse normale des dépenses militaires de la Chine.

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