Infos du jour 2016-03-28
  2016-03-28 15:38:29  cri

Le président chinois Xi Jinping a quitté Beijing le 28 mars au matin à bord d'un avion spécial pour effectuer une visite d'Etat en République Tchèque sur invitation du président tchèque, ainsi que pour participer au 4e Sommet sur la sécurité nucléaire à Washington aux Etats-Unis à l'invitation de son homologue américain Barack Obama.

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Le quotidien tchèque Pravo a publié samedi un article du président chinois Xi Jinping, intitulé "C'est le moment de renouveler et de dynamiser les relations sino-tchèques", en amont de sa visite d'Etat en République tchèque.

Le commandement général de l'armée syrienne estime que la défaite de l'Etat islamique (EI) dans la ville antique de Palmyre (centre) marque le début de la fin pour le groupe djihadiste, a rapporté dimanche l'agence de presse officielle SANA.

"Reprendre Palmyre constitue un coup dur porté aux terroristes de l'EI et va entraîner la baisse du moral du groupe terroriste, ainsi que le début de sa défaite et de sa chute", affirme l'armée syrienne dans un communiqué.

Cette victoire "est le signe que notre armée, en coopération avec des amis, est la seule force capable d'éradiquer le terrorisme".

L'armée syrienne confirme dans ce communiqué que la reconquête de la cité antique s'est faite avec l'aide des forces aériennes russes et syriennes.

Par ailleurs, selon la chaîne pro-gouvernementale Alikhbaria, les trois semaines de combats à Palmyre ont entraîné la mort de 600 combattants de l'EI, tandis que l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), basé au Royaume-Uni, fait état pour sa part de plus de 400 activistes et 180 soldats tués.

On indiquait à Xinhua de source militaire que les forces de l'EI se sont retirées de la ville à la suite de l'offensive gouvernementale lancée il y a quelques semaines.

Cette source, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a précisé que les djihadistes s'étaient repliés à Soukhneh dans l'est de la province de Homs (centre).

Le gouvernement russe a déclaré dimanche qu'il soutient l'autorité légitime en Syrie, mais non la personne du président syrien Bachar al-Assad.

"Nous ne soutenons pas Assad (lui-même). N'oubliez pas: il n'a pas été le meilleur de nos amis, mais il a été l'ami de l'Occident", a affirmé la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova devant des journalistes.

"Nous avons soutenu le maintien du gouvernement légitime, du pouvoir, parce que nous avons compris que si le président partait, le gouvernement le suivrait, les autorités exécutives ainsi que l'armée se désintègreraient", a indiqué Mme Zakharova, cité par l'agence de presse RIA Novosti.

Elle a réaffirmé que les forces aériennes russes ont été déployées en Syrie pour empêcher l'effondrement du pays et lutter contre le terrorisme au Moyen-Orient, mais non pour soutenir Assad dans la guerre civile.

Après avoir mené des frappes aériennes anti-terroristes en Syrie depuis plus de cinq mois, les forces aériennes russes ont commencé le retrait des forces principales le 15 mars sous l'ordre du président russe Vladimir Poutine et avec l'accord d'Assad.

La Russie a soutenu le gouvernement Assad en Syrie, entrant en conflit avec avec les Etats-Unis et leurs alliés qui demandaient la démission du président Assad.

Au moins 69 personnes ont été tuées et plus de 300 autres blessées dans un attentat suicide survenu dimanche soir près d'un parc public de Lahore, chef-lieu de la province du Pendjab (est du Pakistan), a-t-on appris de sources officielles.

L'officier de coordination adjoint de Lahore, le capitaine Usman, a fait savoir que parmi les morts figurent 23 enfants et que 56 enfants blessés avaient été admis dans les hôpitaux.

Haider Ashraf, inspecteur général adjoint de la police, a expliqué que le kamikaze s'était fait exploser dans un parking de motos près de l'entrée principale du parc Gulshan-e-Iqbal, dans la ville de Lahore.

Il a affirmé que le nombre des visiteurs au parc est plus élevé que d'habitude, d'autant plus que des chrétiens y allaient pour célébrer les pâques.

L'équipe de désamorçage de bombe a estimé que le kamikaze portait huit à dix kg d'explosifs sur lui.

Un groupe taliban pakistanais a revendiqué cette attaque suicide.

Les forces de l'armée turque et de la coalition ont lancé des frappes aériennes sur des cibles du groupe terroriste Etat islamique (EI) dans le nord de l'Irak samedi, en représaille d'une attaque lancée par l'EI contre un camp militaire turc.

Un sodat turc a été tué et un autre blessés dans une attaque lancé par des militants de l'EI plus tôt dans la journée contre le camp militaire turc.

Les forces de la coalition ont détruit quatre position de l'EI, et les forces aériennes turques ont frappé quatre autres cibles, a annoncé l'armée turque dans un communiqué.

L'armée turque a détruit vendredi des positions EI en repoussant une attaque lancée par le groupe terroriste, la quatrième attaque depuis le mois de décembre lancé par Daech contre le camp militaire proche de la province du Mossoul, sous contrôle des terroristes. 

La première attaque a eu lieu le 16 décembre, juste après le dépoiement de 150 soldats turcs supplémentaires à la zone de Bashiqa. Ankara a déclaré que son but était de former une milice sunnite irakienne pour combattre l'EI. Dans un second assaut le 27 décembre, cinq soldats turcs ont été blessés.

Les soldats turcs ont tué 17 militants EI en janvier alors que les militants de l'EI tentaient d'attaquer le camp militaire.

D'autres attentats terroristes, comme ceux de Paris et de Bruxelles, sont possibles, a déclaré le chef du Département fédéral suisse de la défense, Guy Parmelin, cité dimanche par la presse locale.

"Le terrorisme djihadiste est malheureusement un fait qui va nous occuper à long terme", a indiqué M. Parmelin, ajoutant néanmoins que la terreur ne deviendrait pas "quotidien".

Mais la fréquence des attentats dépend aussi des mesures pour lutter contre le terrorisme, a-t-il estimé, soulignant que les services de renseignements et la police ont déjoué à plusieurs reprises des attentats en Europe.

Malgré leur travail, on ne parviendra pas à empêcher tous les tentatives, et il est important de mettre accent sur la prévention des crises, a noté M. Parmelin.

Bein que la Suisse n'ait pas été ciblée par les attentats terroristes, les mesures de sécurité ont été renforcées dans les lieux sensibles dans le pays, dont le siège de l'Office des Nations Unies à Genève, les gares et les aéroports. 

A la demande de la France, la police néerlandaise a arrété dimanche un homme soupçonné d'être impliqué dans la préparation d'une attaque terroriste, a annoncé le ministère public néerlandais.

Cet homme de 32 ans, dont l'identité n'a pas été rendue publique, devrait être extradé vers la France prochainement.

Selon les médias français, cet homme et Reda Kriket, Français arrêté jeudi dans la banlieue de Paris, auraient été mandatés par l'Etat islamique (EI) pour commettre un attentat en France.

En juillet 2015, Reda Kriket avait été condamné à dix ans de prison par une cour belge pour faire partie d'un réseau djihadiste.

Après son arrestation et la perquisition chez lui, les autorités françaises ont déclaré que le projet d'attentat des terroristes était à un statde avancé.

La Commission militaire centrale (CMC) projette de mettre fin progressivement à tous les services payants dans l'armée au cours des trois prochaines années, a-t-elle annoncée dans une récente circulaire.

Selon le document, les unités militaires ne seront plus autorisées à lancer de nouveaux programmes ou à signer de nouveaux contrats de services payants, et les contrats arrivant à expiration ne pourront être prolongés.

La commission a également adopté des principes et mesures sur la cessation des services militaires payants, afin de résoudre les problèmes susceptibles de survenir en raison de l'abandon des services payants.

La circulaire souligne que la fin de tous les services payants est "une tâche politique importante" dans la construction des forces armées et exhorte les unités à tous les niveaux à mettre pleinement en oeuvre cette décision.

Fin 2015, la Chine a lancé un nouveau cycle de réformes militaires. Les services payants ont été signalés comme devant être supprimés afin de réduire la corruption dans l'armée.

Les associations chinoises de sciences et technologies doivent mieux servir les travailleurs scientifiques et technologiques, la stratégie nationale du développement soutenu par l'innovation, ainsi que le gouvernement et le public général, à travers les réformes, selon un document officiel publié dimanche.

La direction générale du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) a dévoilé récemment un plan pour approfondir les réformes des associations de sciences et technologies à l'échelle nationale.

Le document exige de ces associations qu'elles suivent la direction du PCC dans les réformes, tout en appelant à des connections plus étroites entre les professionnels et la population, ainsi qu'à une meilleure gestion des sociétés et des organes administratifs relevant de ces associations.

L'année 2016 marque la 57 ème année de l'abolition du servage au Tibet de Chine, et c'est aussi le 8ème anniversaire de commémoration de l'émancipation des millions de serfs tibétains. Pour célébrer ce moment important, le studio central de News Reels production a réalisé un documentaire en deux épisodes HD intitulé « l'abolition des serfs ». Ils ont été diffusés les 25 et 26 mars sur la chaîne internationale de la Télévision centrale de Chine

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